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Tous ceux qui ont visité les installations de la DST ont été unanimes à constater que cette administration qui a pour mission d’assurer la surveillance du territoire, donc protéger le pays et les citoyens de tout danger pouvant leur nuire ne dispose pas de locaux destinés à la torture.
Ainsi, les salafistes, qui ont justifié leur soulèvement et leur « coup de gueule » dans la prison « Zaki », à Salé et d’autres pénitenciers à travers le pays, ont essuyé là un démenti cinglant quant à leurs affirmations fallacieuses pour justifier les émeutes auxquelles, ils se sont livrés, entraînant dans leur sillage des membres du Mouvement du 20 février, lequel est prompt à apporter son soutien à toutes manifestions légitimes ou pas. Le manque de discernement dont fait preuve le Mouvement du 20 février lui fait grand tort et donc lui porte préjudice et discrédit! Ce mouvement est devenu une auberge espagnole où on y trouve de tout ! Que l’action soit justifiée ou non, il y a des personnes se revendiquant du 20 février qui sont là pour prendre fait et cause pour la démarche…Ce qui, à l’évidence, fait perdre de sa légitimité et jette le discrédit sur ce mouvement qui avait bénéficié au début d’un élan de sympathie et de soutien.
Or, au fil des jours, on constate que ce mouvement qui se voulait indépendant, loin des appartenances partisanes, ayant des revendications fondées, a été infiltré, parasité par des éléments étrangers qui venaient surfer sur ses réclamations pour propager leurs propres slogans et mots d’ordre.
Quoi qu’il en soit, l’argument ou les affirmations des salafistes selon lesquelles ils auraient subi les pires tortures dans les locaux de la DST pour dénoncer et justifier leur soulèvement parfois très dangereux est aujourd’hui battu en brèche grâce justement à l’opération « portes ouvertes » de la Direction de surveillance du territoire.