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"Il (l'arbitre tunisien) a été suspendu pour une période qui est encore à déterminer. Nous nous attendions à un meilleur niveau", a regretté M. Amrani lors d'une conférence de presse.
Les "Etalons" (surnom des Burkinabès) se sont notamment plaints d'un peénalty non sifflé en leur faveur et surtout du second carton jaune montré à leur attaquant Jonathan Pitroipa (117è) pour une simulation peu évidente dans la surface de réparation ghanéenne et ont fait appel de cette décision. "Le comité d'organisation ne peut changer la décision de l'arbitre que si ce dernier reconnaît dans son rapport officiel qu'il a fait une erreur", a expliqué le dirigeant marocain.
Le sélectionneur du Burkina Faso, Paul Put, a qualifié de "ridicules" certaines décisions de l'arbitre. "Tout le monde peut le voir sur les images vidéo, il n'y a aucun doute à avoir pour savoir s'il y avait carton rouge ou pas", a-t-il déploré.
Le Burkina, mené 1-0 dès la 13è minute de jeu sur penalty face au Nigeria en seconde demi-finale, mercredi soir à Nelspruit, a réussi à recoller au score après la pause (60è) et fini par s'imposer au terme de la séance fatidique des tirs au but, se qualifiant pour la première fois de son histoire en finale de la CAN, où l'attend le Nigeria, large vainqueur du Mali en première demi-finale (4-1).