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La patte Atlético: sans briller, mais en résistant tout au long d'un match fou, l'Atlético Madrid a éliminé le FC Barcelone 3-2 jeudi en demi-finale de la Supercoupe d'Espagne à Jeddah (Arabie Saoudite), pour rejoindre le Real Madrid en finale, dimanche (18h00 GMT).
Un ange contre les rois: auteur du dernier but du match (86e), l'Argentin Angel Correa a offert la victoire à l'Atlético au bout d'un retournement de situation incroyable, après les buts de Koke (46e), Lionel Messi (51e), Antoine Griezmann (62e), et le penalty d'Alvaro Morata (81e), pour s'offrir une finale contre le grand Real et éviter ainsi un deuxième clasico de la saison en finale.
Alors que son équipe était à deux doigts de la rupture en première période, malmenée par un Barça omniprésent en attaque, Koke a ouvert le score dix-neuf secondes après le retour des vestiaires (46e) contre le cours du jeu.
Mais Messi, dans la foulée (51e), et Griezmann (62e), ont permis aux Blaugranas de concrétiser leurs nombreuses occasions de but jusque-là repoussées par l'excellent portier "rojiblanco" Jan Oblak, pour repasser devant 2-1.
"J'avais l'impression qu'on avait le match en mains... mais l'Atlético a retourné la situation", a regretté Ernesto Valverde, l'entraîneur du Barça, après le match. "On a commis beaucoup d'erreurs dans tous les secteurs, dans les passes", l'a rejoint Griezmann.
"On voulait ce trophée. C'est un coup dur pour nous (...). C'est un résultat qui fait mal", a déploré le capitaine barcelonais Messi, en ajoutant: "On faisait un grand match, c'est vraiment dommage... Il nous échappe pour des moments d'inattention et des erreurs enfantines".
Largués dans tous les secteurs du jeu, les hommes de Diego Simeone, auteurs d'un début de saison mitigé (9 victoires, 8 nuls et 2 défaites en Liga), se sont alors accrochés, malgré les deux buts refusés au Barça par l'assistance vidéo (Messi 59e, et Piqué 73e), et ont cru en leurs chances de qualification pour la première finale de cette Supercoupe nouvelle version, disputée sous la forme d'une "finale à quatre" en Arabie Saoudite.
"A la 75e, a surgi quelque chose que l'Atlético aura toujours: du coeur, de l'envie, de la volonté. Et après une situation qui paraissait impossible, on a eu la sensation que si on a pu égaliser, on pourrait l'emporter", a résumé Diego Simeone, après le match.
Face pourtant à un grand Messi, et à un très bon Griezmann, auteur de l'une des ses meilleures prestations sous les couleurs blaugranas, les Colchoneros ont égalisé grâce à un penalty d'Alvaro Morata (81e).
Et quatre minutes avant le terme, alors que le Barça semblait se diriger tout droit vers un deuxième clasico de la saison en première période (un mois après le 0-0 au Camp Nou), l'Argentin Angel Correa a signé le but de la qualification: son tir a fini au fond des filets après avoir été détourné par Neto, le gardien catalan.
Un match fou au dénouement incroyable, dans un stade plein: voilà de quoi faire renaître l'amour des Espagnols pour cette Supercoupe, sur le point de mourir il y a un an.
La finale entre l'Atlético et le Real Madrid sera donc le "remake" de celle de 2014, où les Colchoneros s'étaient imposés 1-1, 1-0 contre les Merengues.
Un ange contre les rois: auteur du dernier but du match (86e), l'Argentin Angel Correa a offert la victoire à l'Atlético au bout d'un retournement de situation incroyable, après les buts de Koke (46e), Lionel Messi (51e), Antoine Griezmann (62e), et le penalty d'Alvaro Morata (81e), pour s'offrir une finale contre le grand Real et éviter ainsi un deuxième clasico de la saison en finale.
Alors que son équipe était à deux doigts de la rupture en première période, malmenée par un Barça omniprésent en attaque, Koke a ouvert le score dix-neuf secondes après le retour des vestiaires (46e) contre le cours du jeu.
Mais Messi, dans la foulée (51e), et Griezmann (62e), ont permis aux Blaugranas de concrétiser leurs nombreuses occasions de but jusque-là repoussées par l'excellent portier "rojiblanco" Jan Oblak, pour repasser devant 2-1.
"J'avais l'impression qu'on avait le match en mains... mais l'Atlético a retourné la situation", a regretté Ernesto Valverde, l'entraîneur du Barça, après le match. "On a commis beaucoup d'erreurs dans tous les secteurs, dans les passes", l'a rejoint Griezmann.
"On voulait ce trophée. C'est un coup dur pour nous (...). C'est un résultat qui fait mal", a déploré le capitaine barcelonais Messi, en ajoutant: "On faisait un grand match, c'est vraiment dommage... Il nous échappe pour des moments d'inattention et des erreurs enfantines".
Largués dans tous les secteurs du jeu, les hommes de Diego Simeone, auteurs d'un début de saison mitigé (9 victoires, 8 nuls et 2 défaites en Liga), se sont alors accrochés, malgré les deux buts refusés au Barça par l'assistance vidéo (Messi 59e, et Piqué 73e), et ont cru en leurs chances de qualification pour la première finale de cette Supercoupe nouvelle version, disputée sous la forme d'une "finale à quatre" en Arabie Saoudite.
"A la 75e, a surgi quelque chose que l'Atlético aura toujours: du coeur, de l'envie, de la volonté. Et après une situation qui paraissait impossible, on a eu la sensation que si on a pu égaliser, on pourrait l'emporter", a résumé Diego Simeone, après le match.
Face pourtant à un grand Messi, et à un très bon Griezmann, auteur de l'une des ses meilleures prestations sous les couleurs blaugranas, les Colchoneros ont égalisé grâce à un penalty d'Alvaro Morata (81e).
Et quatre minutes avant le terme, alors que le Barça semblait se diriger tout droit vers un deuxième clasico de la saison en première période (un mois après le 0-0 au Camp Nou), l'Argentin Angel Correa a signé le but de la qualification: son tir a fini au fond des filets après avoir été détourné par Neto, le gardien catalan.
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La finale entre l'Atlético et le Real Madrid sera donc le "remake" de celle de 2014, où les Colchoneros s'étaient imposés 1-1, 1-0 contre les Merengues.