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Autre grande place financière d’Asie comme Singapour, Hong Kong arrive en quatrième position, suivie par Oslo. Séoul et Genève se partagent la sixième place, précédant Copenhague, Tel Aviv et Sydney, selon le classement annuel établi par l’Economist Intelligence Unit (EIU). Les fluctuations des devises demeurent une cause majeure des changements dans ce classement établi chaque année. Ainsi, aucune ville américaine à commencer par New York ne se trouve dans le top 10 en raison de la faiblesse du dollar, ni Tokyo.
Petit archipel à forte croissance économique et au niveau de vie élevé qui attire nombre d’expatriés, Singapour “reste la ville la plus chère au monde pour acheter et posséder une voiture”, souligne l’EIU.
Pour acquérir une automobile, l’acheteur doit s’acquitter d’une licence dont le montant atteint environ 31.000 euros. Ce Certificate of Entitlement (COE) porte le coût d’une berline de moyenne gamme à plus de 50.000 euros. Dans l’ensemble, les villes asiatiques sont les plus chères pour les dépenses alimentaires, tandis que l’Europe est en tête pour les dépenses de ménage, les soins personnels et les loisirs, selon l’étude, qui ne mentionne pas le coût du logement pour établir ce classement.
Parmi les villes les moins chères du monde figurent Damas (Syrie), Caracas (Venezuela), Lagos (Nigeria) et Karachi (Pakistan), selon la même source.
“Pour dire les choses simplement, les villes les moins chères semblent aussi être moins vivables”, soulignent les auteurs de l’étude.