-
SAR le Prince Héritier Moulay El Hassan préside la finale du GP de SM le Roi Mohammed VI de Tbourida
-
Matches amicaux pour les U18 et les U20: Stage de préparation de l’EN des natifs de 2000
-
Botola Pro D1 : HUSA-WAC débouche sur un score de parité
-
Tenue de l’assemblée générale de la Peňa Madridista de Casablanca
-
Coupe du monde de Wingfoil Dakhla 2024: L'Espagnole Elena Moreno sacrée
Le chiffre avancé par le nouveau patron des Verts est faramineux et ne se limite pas au déficit qui n’a cessé d’aller crescendo au fil des années de gestion du président démissionnaire, Mohamed Boudrika, passant de 4 millions de DH la première année, à 5, 12 puis 19 millions de DH respectivement au titre des 2, 3 et 4èmes années du mandat de l’ancien bureau.
Mais là où la situation financière du club se complique de plus belle, c’est au niveau de l’endettement, a précisé Saïd Housbane qui, en dépit de cet état de fait catastrophique, n’a pas manqué au passage de saluer le travail fait par les ex-dirigeants du club.
A cet effet, Housbane a souligné que l’endettement à court terme se situe à 75 millions de dirhams, réparti comme suit : salaires du personnel et des encadreurs réglés avant le 30 juin, deuxième tranche de prime de signature des joueurs (14 millions de DH), frais de fournisseurs (17 millions de DH), litiges inscrits à la FRMF (6 millions DH) et à la FIFA (11 millions de DH).
Pour le moyen terme, le Raja devra s’acquitter de 31 millions de dirhams avant le 31 décembre 2016 alors que pour le long terme, le club casablancais doit éponger d’ici deux ans quelque 66 millions de dirhams.
En somme, le Raja a besoin de 170.200.000,00 DH pour redresser la barre. Ce qui fait dire à Saïd Housbane que pour le moment le Raja est «en liquidation » et qu’il faut un «Plan Marshall» pour sortir la formation casablancaise de cette mauvaise passe.
Une situation de crise qui, selon Saïd Housbane, ne peut être surmontée par la seule action de l’actuel bureau soulignant que la conjugaison des efforts de toutes les potentialités rajaouies sera la bienvenue, allant jusqu’à solliciter l’intervention de la FRMF voire l’Etat pour sauver le Raja.
Pour le successeur de Boudrika, renflouer la trésorerie du Raja de 30 ou 40 millions de DH serait juste une mesure de rafistolage, car elle ne permettra pas au club de se ressaisir d’autant que la crise peut s’estomper six mois puis refera surface. Des lendemains meilleurs sont loin de pointer à l’horizon au grand dam de la famille des Verts.
Ceci intéresse le Onze national
‘’Le 30 juin 2016, les contrats de M. Jorge Costa, sélectionneur national des Panthères A, et de son staff technique, sont arrivés à expiration. En conséquence, le Comité exécutif de la Fédération gabonaise de football lance un appel à candidatures pour le recrutement d’un sélectionneur national’’, a indiqué jeudi soir la Fégafoot dans un communiqué.
Selon le chronogramme établi, les candidatures seront reçues jusqu’au 20 juillet courant, alors que les différents dossiers seront examinés entre les 22 et 24 juillet avant la divulgation le 30 du même mois de l’identité de celui qui conduira les Panthères lors de la CAN-2017 à domicile.
Le Gabon est engagé dans le troisième et dernier tour des qualifications à la Coupe du monde 2018, qui débutent en octobre prochain. Les Panthères figurent dans le groupe C avec le Maroc, le Mali et la Côte d’Ivoire.