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Serge Lama souffre visiblement d’un sérieux manque de reconnaissance et il s’en cache à peine.
Interviewé par Paris Match, le chanteur avoue qu’il n’a jamais compris pourquoi dans les années 70/80 il n’était pas aussi « adulé » que « d’autres chanteurs » : « Je ne trouvais pas ça normal ! J’étais en tête des ventes et on s’intéressait à d’autres. Dans les années 70, il y avait Sardou, Johnny, Claude François et moi. Mais eux vendaient moins que moi, ils passaient moins à la radio ! »
L’attaché de presse du chanteur lui expliquait à l’époque qu’il était difficile d’écrire des papiers de fond sur lui. « Je ne comprenais pas pourquoi parce que moi, au moins, j’écrivais mes chansons, ce qui n’était pas le cas des autres. », s’emporte Serge Lama.
Il en profite pour coller au passage un bon taquet à Michel Sardou, son grand rival de l’époque. « Michel avait une chance extraordinaire, il avait un musicien, Jacques Revaux, qui faisait tout. Sardou arrivait en studio, chantait deux prises et se barrait. Revaux s’occupait du reste. Regardez bien sa carrière, à partir du moment où il quitte Revaux, il plonge. » Elégant…
Plus étonnant, Serge Lama s’en prend à un monument sacré de la chanson française : Serge Gainsbourg. « Il n’a rien inventé, confie-t-il. Il a mis des rimes en “ite” un peu partout. On s’extasie quand il fait rimer “petite” avec “bite” (Love on the Beat) mais quand vous le lisez à plat, c’est très classique. » Quand Lama pas content, Lama toujours cracher sur les petits copains.