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Rachid Taoussi, le nouveau sélectionneur de l’équipe du Maroc, en acceptant le poste pour lequel il avait postulé et en connaissance d’une cause à moitié perdue, a volontairement écarté cette possibilité. Il s’est engagé devant la FRMF et la nation marocaine à réussir. Ce qui, en d’autres termes, devrait, à en suivre le bonhomme, déboucher sur le visa «Africa» 2013. Ardue mission! Notre Taoussi national est en quelque sorte le Rambo «beldi» des temps modernes de notre football.
Pour si périlleuse que soit la mission, elle est tout à fait dans nos crampons. On n’en est pas encore là, quoique nous y croyions fermement, d’ailleurs c’est tout ce que nous reste encore : y croire.
Oui, croire aux talents de nos gamins du groupe Maroc, que Rachid Taoussi doit absolument faire fructifier. A Marrakech, pour que la mayonnaise (expatriés-locaux) puisse prendre, samedi, il faudra pour le mérite de notre cuistot, qu’elle ait un sacré caractère d’homogénéité. Car effectivement, bien des joueurs en forme du moment s’essayeront pour une première fois à l’amalgame d’avec les rescapés du groupe à Gerets.
Or, ils ne pourront risquer une action et tenter de se surpasser que si leurs partenaires qui les entourent, leur ont accordé une certaine confiance. Rachid Taoussi est là pour y veiller scrupuleusement.
D’un autre côté, tout comme leur patron, sans droit à l’erreur, les joueurs qui ont sérieusement hypothéqué les chances de la sélection à Maputo sont dos au mur. Histoire de s’accrocher au mince espoir restant, ils se doivent samedi d’écrire en lettres d’or, l’éventuel le «remise des gaz» pour un vrai envol d’un football national dont on a bien voulu et enfin, entendre le «mayday».