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L'ouverture de cette édition a notamment été marquée par la projection en plein air du long métrage "L'écharpe rouge" (Al Wichah Al Ahmar) du réalisateur Mohamed Lyounsi, ainsi que du court métrage "Le village du cinéma" (Douar Soulima) de Asmaa El Moudir, en présence d'un nombreux public de cinéphiles.
Dans une déclaration à la MAP, le directeur du festival, Ben Younes Bahkani, a mis l'accent sur la dimension internationale de cette édition. L'objectif, selon lui, est de promouvoir le 7ème art dans la région de l'Oriental et de permettre l'accès au cinéma à un vaste public. En compétition officielle de cette première édition, qui prendra fin samedi prochain, figurent six longs métrages et six courts métrages représentant, outre le Maroc, la Hollande, la Belgique, l'Allemagne, la France, la Suisse, la Turquie, la Palestine, l'Algérie et la Tunisie.
Dans la catégorie longs métrages, figurent notamment ''Rif 58-59'' du réalisateur Tarik El Idrissi (Maroc), "Boulanoir" de Hamid Zoughi (Maroc), ''Ribat'' de Jim Taihuttu (Hollande) et Julius Ponten (Belgique), "El ziara" (La visite) de Nawfel Saheb-Ettabaa (Tunisie) et ''Harraga blues'' de Moussa Haddad (Algérie).
Pour ce qui est des courts métrages, on en citera ''Le voyage dans la boîte'' (Rihla Fi Soundok) de Amine Sabir (France-Maroc), "La boîte" (Al Soundok) de Driss Sawab (Maroc), "Cinq caméras brisées" de Emad Mohamed Bernat (Palestine), "Voyage sans retour" de Guclu Yaman (Allemagne-Turquie). Organisé à l'initiative de l'Association Al Amal pour la coexistence et le développement, cet événement a pour objectifs de promouvoir la culture cinématographique dans la région de l'Oriental, en particulier à Saïdia, de servir de trait d'union entre les Marocains d'ici et d'ailleurs et de susciter le débat sur les questions de l'immigration et des immigrés, ainsi que de promouvoir les valeurs de tolérance et de cohabitation.