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Le Raja tourne donc une page ponctuée du positif et du négatif pour se projeter sur un lendemain qu’il espère davantage meilleur. Le nouveau président sait fort bien que la tâche ne sera pas une simple sinécure et il n’a pas manqué de soulever dans sa première sortie médiatique que le Raja a besoin de toutes ses potentialités pour relever les prochains défis et franchir cette phase difficile que traverse le club. Avant d’ajouter dans une déclaration rapportée par le site officiel des Verts, rajacasablanca.com, qu’il a un programme intégré qui nécessitera la conjugaison des efforts de l’ensemble des adhérents et des supporteurs du club.
Saïd Hasbane a affirmé également que le Raja doit tirer profit de l’expérience de tous les Rajaouis susceptibles d’apporter un plus, signalant à ce propos que son mode de gestion reposera sur le travail d’équipe et qu’il tiendra bientôt une conférence de presse en vue de décliner les axes du plan d’action du nouveau comité du Raja.
Saïd Hasbane, qui faisait partie de l’équipe dirigeante alors que le Raja était présidé par Abdellah Ghalam, a été candidat unique et ce après qu’Adil Bamaârouf a retiré sa candidature. Ce dernier n’est pas allé par quatre chemins pour expliquer les raisons de son retrait, évoquant que toute cette histoire de succession au président démissionnaire Mohamed Boudrika n’est autre qu’une «pièce de théâtre».
Le candidat contestataire a critiqué vivement la gestion du club surtout lors de la précédente saison, tonnant que prendre les destinées du Raja sera une aventure au vu des difficultés financières dont lesquelles sombre le Raja depuis un bon bout de temps.
Saïd Hasbane hérite d’un Raja qui a vécu l’une de ses pires saisons sur le plan sportif dont la toute dernière contre-performance coïncide avec le jour de l’AG, l’élimination au tour des seizièmes de finale de la Coupe du Trône. Une sortie que le club n’oubliera pas de sitôt après avoir décidé de ne pas terminer le match contre le DHJ pour protester contre la décision du referee Nouni qui a débouché sur un but litigieux des Jdidis.
L’élimination d’entrée de la Coupe du Trône s’ajoute à la cinquième place décrochée en championnat, synonyme apparemment d’une absence pour la deuxième fois de suite de la compétition continentale. La nouvelle équipe à qui incombera la direction du club sera-t-elle capable de rectifier le tir ? En principe, c’est pour cette seule et unique raison qu’elle est là.
Il convient de rappeler en dernier lieu qu’il a été procédé à l’issue des travaux de cette assemblée générale à l’adoption des rapports moral et financier.