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à Dortmund en finale
de la Ligue des champions,
samedi à Wembley.
Vous êtes-vous dit "enfin", lorsque l'arbitre a sifflé le coup de sifflet final?
"Oui, j'ai pensé "enfin". Je ne pourrais pas décrire ce qui est passé par ma tête. C'est tellement d'émotion. Pour un footballeur, c'est la plus grande chose qu'on puisse réussir. Entendre l'arbitre siffler la fin et être vainqueur de la Ligue des champions, c'est la dernière chose qui manquait à beaucoup d'entre nous dans la vie. C'était notre troisième finale et on ne voulait pas avoir l'étiquette de perdant."
Avez-vous ressenti une forte pression après votre échec de l'an passé?
"J'ai essayé de la transformer en énergie positive. J'étais bien préparé. J'avais mon plan. J'ai fait le match plusieurs fois dans ma tête. Beaucoup de choses me sont passées par l'esprit. D'avoir donné la passe décisive sur le premier but et marqué moi-même le second, c'est un rêve. Je sens toujours de la responsabilité quand je joue au football. La principale raison de notre succès c'est que nous sommes une vraie équipe. Nous courons ensemble, nous
défendons ensemble. C'est moi qui ai marqué le dernier but, mais le mérite en revient à toute l'équipe."
Qu'allez-vous faire maintenant?
"Nous allons fêter la victoire à Londres ce soir. Ensuite, le coach nous a dit que nous allions préparer dès demain la finale de la Coupe (contre Stuttgart le week-end prochain), mais j'ai du mal à croire que nous allons arriver à Munich et tout simplement rentrer à la maison."