-
Les Etats-Unis autorisent un vaccin contre la grippe à s'administrer soi-même
-
Des pistes pour améliorer diagnostic et traitement des troubles de l'attention chez l'enfant
-
Les Etats-Unis accusent les géants des réseaux sociaux de "surveillance de masse"
-
Pêcher "moins et mieux": L'appel de scientifiques pour une pêche vraiment durable
-
Une collection de pièces de monnaie rapporte 14,8 millions d'euros aux enchères
L'article note que cette dernière tendance s'inscrit dans un mouvement plus large au sein duquel les adultes interfèrent beaucoup plus qu'avant dans la vie sociale des enfants. Dans une colonie de vacances, des «coachs d'amitié» séparent les enfants «trop» proches pour les faire sociabiliser avec d'autres jeunes... D'autres psychologues interviewés par le New York Times s'opposent à cette façon d'envisager les meilleurs amis:
Est-ce qu'on veut encourager les enfants à avoir toutes sortes de relations superficielles? Est-ce vraiment ainsi que nous voulons élever nos enfants? Imaginez les implications sur les relations amoureuses. On veut que les enfants deviennent doués pour se créer des relations proches, et non pas superficielles.
The Atlantic a fait le tour des réactions à l'article sur les blogs pour la plupart conservateurs, qui condamnent tous cette idée «d'experts de gauche». La National Review y voit une dérive de «l'Etat-nounou»:
Les experts du social veulent vous dire quoi manger, quoi boire, comment conduire, comment parler, comment penser. Parfois ils ont raison, et en tant que père d'un jeune enfant, je concède tout à fait que les cliques peuvent être malsaines et méchantes. Mais là, c'est pousser le bouchon un peu loin.