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Aujourd'hui le Maroc souligne que le Maroc célèbre chaque année quasi simultanément deux fêtes nationales hautement symboliques: la fête de la jeunesse et celle de la commémoration de la Révolution du Roi et du peuple.
La première marque l'image définitivement ancrée dans la conscience collective des Marocains d'"un Roi ambitieux et innovateur" et la deuxième rappelle à quel point le peuple marocain "demeure attaché à la dynastie alaouite", indique l'éditorialiste.
Le Maroc, avec une population majoritairement jeune qui nourrit des rêves et des aspirations de prospérité, "est soutenu par un Roi dynamique et visionnaire, qui aspire à un Maroc moderne et émergent", affirme-t-il, soulignant que "ces deux forces mobilisatrices renforcent plus que jamais les chances du Maroc aujourd'hui et de demain".
Bayane Al Yaoum souligne l'impératif de s'inscrire sur les listes électorales et d'aller voter le jour du scrutin sur la base des convictions, sans contrepartie de quelque genre que ce soit, appelant les organisations de la société civile et les différents acteurs à ne pas se fixer pour cible les partis politiques mais, au contraire, à défendre leur importance capitale dans chaque processus démocratique.
L'éditorialiste appelle également les jeunes, qui se sentent frustrés et désespérés à cause des actes commis par des corrupteurs et des courtiers électoraux, à ne pas abandonner le terrain et, au moins, condamner et dénoncer la falsification, la corruption et toutes formes qui risquent de donner une entorse à l'intégrité électorale.
Faire aboutir les élections, une étape démocratique centrale, relève de la responsabilité de tous, citoyens, associations et partis politiques, estime-t-il, soulignant la nécessité de prendre position et de l'exprimer le jour du scrutin dans les urnes.
Al Ittihad Al Ichtiraki indique que le chef du gouvernement se comporte, en cette période électorale, comme un directeur de campagne et non comme une personnalité constitutionnelle.
Pour l'éditorialiste, le discours tenu par Abdelilah Benkirane est au-dessous du seuil minimal politique, langagier et relationnel adopté dans la compétition démocratique.
Les électeurs n'y trouveront pas d'indices qui leur permettront de prévoir le programme politique que le chef du gouvernement ne cesse de défendre ni de se former une bonne idée sur la politique, juge-t-il, notant que ses propos, son ton et les objectifs qu'il se fixe pour ses sorties, depuis les élections des Chambres professionnelles, ne laissent pas flairer les convictions intellectuelles ou idéologiques qu'il défend en tant que chef de gouvernement.