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Al Alam souligne que le discours que SM le Roi Mohammed VI a prononcé à l'occasion de la Fête du Trône a accordé une importance particulière à la communauté marocaine établie à l'étranger, estimée à 6 millions de personnes.
SM le Roi a affirmé que les MRE rencontrent des difficultés avec certains consulats à l'étranger et font face à des problèmes administratifs majeurs. De ce fait, la question de la communauté marocaine est devenue une cause nationale et prioritaire dans les politiques publiques marocaines, note l'éditorialiste.
Les orientations royales relatives à la question des MRE constituent une plate-forme et une référence en matière d'intégration de la communauté marocaine établie à l'étranger dans le processus de développement que vise notre pays, relève-t-il.
Pour Bayane Al Yaoum, SM le Roi s'est arrêté avec fermeté et franchise sur la souffrance qu'endurent les Marocains du monde avec des consuls lorsqu'ils cherchent à obtenir des documents administratifs ou trouver des solutions à certains de leurs problèmes.
Le Souverain a souligné la nécessité de mettre fin aux mauvais traitements qu'ils subissent, de prendre soin de leur dignité et de les accueillir convenablement dans les différents services consulaires, explique le journal, soulignant que les orientations royales doivent être prises en compte le plus tôt possible avec l'adoption de mesures concrètes, de décisions fermes et des plans d'action bien concoctés.
Al Ittihad Al Ichtiraki estime que le discours royal a abordé un sujet très important, à savoir la problématique des régions marginalisées et la pauvreté dont souffrent certaines zones et des catégories du pays.
L'étude annoncée dans le discours royal dévoile au grand jour des vérités dont tout le monde pressentait la gravité, sauf qu'aujourd'hui on est devant une étude et un plan officiels qui exigent du gouvernement un traitement sans délai, note l'éditorialiste.
Toutefois, si ce discours a mis le gouvernement devant sa responsabilité, le peuple est impatient de voir comment les ministères, les établissements publics et les services administratifs vont réagir afin d'accélérer la mise en œuvre du plan annoncé et mettre en place des politiques susceptibles de relever les défis auxquels est confronté le Maroc, souligne-t-il.
Sur le nomadisme politique, Assabah déplore que certains partis politiques bafouent les principes les plus élémentaires de l'action politique. Ces partis ont relevé le niveau d'alerte au maximum non pas pour se pencher sur les préoccupations de la Nation et celles des citoyens, mais pour "voler" les candidats.
Les concepteurs d'opérations du nomadisme politique ne se sont pas rendu compte qu'ils enterrent par eux-mêmes les échéances électorales. Ces partis auraient dû résoudre le problème de l'abstention politique, rechercher de nouvelles élites pour les élections et ouvrir la voie aux femmes et aux jeunes pour découvrir de nouvelles idées, et non tourner dans un cercle vicieux qui ne conduirait qu'à la faillite des partis, indique l'éditorialiste.
Il est vrai que le nomadisme politique est ancien, mais ce phénomène est revenu en force au moment où tout le monde espérait sa disparition pour préserver la crédibilité des partis eux-mêmes et des échéances électorales, relève-t-il, estimant que la persistance de ce phénomène dénote une crise profonde des partis politiques et un manque d'éthique à l'égard de l'opinion publique.