-
SAR le Prince Héritier Moulay El Hassan préside la finale du GP de SM le Roi Mohammed VI de Tbourida
-
Matches amicaux pour les U18 et les U20: Stage de préparation de l’EN des natifs de 2000
-
Botola Pro D1 : HUSA-WAC débouche sur un score de parité
-
Tenue de l’assemblée générale de la Peňa Madridista de Casablanca
-
Coupe du monde de Wingfoil Dakhla 2024: L'Espagnole Elena Moreno sacrée
Lors de cette réunion, présidée par Moulay Hafid Elalamy, président du Comité de candidature Maroc-2026, les deux parties ont notamment exploré dans le détail de nombreux volets liés aux garanties gouvernementales et autres aspects juridiques, indique, mercredi, un communiqué du comité.
La même source a ajouté que le chef du Gouvernement, Saâd Eddine El Othmani, a également reçu la délégation de la FIFA en présence de M. Elalamy, ainsi que du ministre de la Jeunesse et des Sports, Rachid Talbi Alami.
Cette rencontre a été l’occasion de réaffirmer "l’engagement total et sans faille" du gouvernement marocain pour organiser une Coupe du monde "impeccable, satisfaisant l'ensemble des conditions" et répondant au cahier des charges de la FIFA.
Cette visite de travail de la délégation de la FIFA intervient à quelques jours du dépôt du dossier de candidature, prévu au plus tard le 16 mars, conclut le communiqué.
Par ailleurs, les encadrements des 32 équipes qualifiées pour la Coupe du monde 2018 de football en Russie se sont montrés mercredi plutôt favorables à l'assistance vidéo à l'arbitrage (VAR), dont la FIFA doit décider samedi de son utilisation pendant le tournoi.
Guy Stéphan, adjoint du sélectionneur de l'équipe de France Didier Deschamps, pense ainsi "que c'est une décision qui peut amener vers une diminution des fautes".
Une vision partagée par le sélectionneur adjoint de l'Uruguay, Celso Otero, qui a dit penser que la VAR "améliorera le football".
"Je pense que la VAR sera approuvée et nous allons alors l'évaluer", a-t-il déclaré à Sotchi, station balnéaire du sud de la Russie où les représentants des 32 sélections engagées sont réunis depuis mardi pour évoquer les aspects logistiques de la compétition.
Autre défenseur de l'assistance vidéo, le sélectionneur adjoint de l'Arabie Saoudite, Manuel Suarez, qui a estimé que "l'arbitrage vidéo vient pour éliminer les erreurs des arbitres". Ces débats sur l'assistance vidéo, auxquels ont pris part à Sotchi le patron de l'arbitrage à la Fifa, Massimo Busacca, interviennent alors que le Board, l'instance garante des lois du jeu, doit décider samedi à Zurich si elle sera utilisée pendant le Mondial. Le président de la FIFA, Gianni Infantino, s'est toujours affiché comme un défenseur du système qui ne peut être utilisé que dans quatre situations de jeu: après un but marqué, sur une situation de penalty, pour un carton rouge direct ou pour corriger une erreur d'identité d'un joueur sanctionné.
Mais le président de l'UEFA, Aleksander Ceferin, a rejeté lundi l'idée d'utiliser la VAR en Ligue des champions d'Europe l'année prochaine. "Personne ne sait encore exactement comment ça marche. Il y a encore beaucoup de confusion", a-t-il notamment expliqué.