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Cette session qui portera sur des thématiques importantes et des questions d'actualité intéressant le monde arabe, vise à consolider l’action arabe commune et la coordination entre les Parlements des pays arabes.
Selon un communiqué du Parlement, cette édition sera marquée par la désignation d’un nouveau président pour l'Union parlementaire arabe et l’élaboration du plan de travail de l'Union pour l’année en cours.
Lors de la session d’ouverture, le secrétaire général de l'UPA, le secrétaire général de la Ligue arabe, ainsi que les présidents des deux Chambres du Parlement marocain prononceront des allocutions à cette occasion. Au programme de cette session figurent également la présentation d’un rapport relatif à l’activité de l’Union et du comité exécutif, d’un rapport sur la situation de l’Union et ses activités depuis la 23ème conférence et l’adoption des rapports de la 20ème et la 21ème sessions du comité exécutif de l’Union parlementaire arabe.
Les conférenciers débattront lors de la session plénière de la situation actuelle dans le monde arabe, des différents défis auxquels font face les pays arabes et des actions communes pour y remédier.
En marge de cette conférence, les commissions permanentes relevant de l’Union tiendront leurs réunions. Il s’agit de la commission des affaires politiques et des relations parlementaires, la commission des affaires financières et économiques et la commission chargée des affaires de la femme et de l’enfance.
Fondée en 1974, l'UPA regroupe les Chambres parlementaires arabes. Elle s'assigne pour objectif le renforcement du dialogue et de la concertation entre les Parlements arabes, la consolidation de l’action commune et la coordination des efforts parlementaires dans les différents domaines.
A signaler, par ailleurs, qu’une délégation de la Chambre des conseillers, conduite par son premier vice-président Mohamed El Ansari, a participé à une série d’activités organisées à l’occasion de la 34e session du Conseil des droits de l’Homme (CDH) de l’ONU à Genève.
Composée de Hamid Couscous et Abdelkader Salama, membres du bureau de la deuxième Chambre, la délégation a notamment assisté au cycle de l’Examen périodique universel (EPU) dans la perspective de la présentation du rapport du Maroc au titre de ce mécanisme en mai prochain.
La présence des conseillers marocains à Genève traduit la volonté des membres de l’institution législative de s’ouvrir et d’interagir avec les expériences internationales, en plus de l'accompagnement des efforts visant l’ancrage de la culture des droits de l’Homme.
«En tant que Parlement, nous mettons l’accent sur l’adaptation des législations nationales aux dispositions du droit international à travers le partage d’informations et d’expertises avec les organisations et les acteurs des droits de l’Homme», a déclaré El Ansari à la MAP.
Les parlementaires marocains ont eu, par la même occasion, des concertations avec des délégations de pays membres du Conseil des droits de l’Homme, principal organe intergouvernemental des Nations unies en charge des questions relatives aux droits humains. La participation de cette délégation aux travaux de la 34ème session du conseil s’inscrit en outre dans le cadre de la mission des parlementaires portant sur le suivi et le contrôle de l’action gouvernementale.
A cette occasion, la délégation a pris part à une rencontre organisée à l’occasion de la célébration du 5ème anniversaire du Fonds d’affectation spéciale, une initiative destinée à apporter l'assistance technique aux pays les moins avancés et aux petits Etats insulaires en développement pour qu’ils participent aux travaux du CDH. Financé par plusieurs pays dont le Maroc, le fonds permet de soutenir la participation des représentants des gouvernements bénéficiaires aux sessions du Conseil et d’organiser des programmes de bourses et des sessions de formation ciblées en leur faveur.