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Ce programme vise à renforcer le rôle des associations œuvrant dans le domaine des droits de l’enfant, à travers le renforcement des capacités des associations, notamment en matière d’acquisition du cadre normatif international lié aux droits de l’enfant, la promotion des mécanismes de protection des droits de l’enfant et leur intégration dans les politiques publiques, ainsi que l’interaction avec le système onusien, via l’élaboration des rapports parallèles relatifs aux droits de l’enfant, indique mercredi un communiqué de la DIDH.
Ces deux rencontres relèvent du champ de compétences de la délégation relativement au dialogue et aux partenariats avec les organisations de la société civile et s'inscrivent dans la mise en œuvre de son plan stratégique 2012-2016, notamment l’axe relatif au renforcement des capacités des organisations de la société civile et de leur force de proposition dans la mise en œuvre des politiques publiques liées aux droits de l’Homme, précise encore le communiqué.
Elles interviennent également, ajoute la même source, en exécution des dispositions de la Constitution visant la consécration de la démocratie participative avec les associations de la société civile, notamment l’article 12 relatif à la contribution des associations axée sur la chose publique, à l’élaboration des décisions et des projets des institutions élues et des pouvoirs publics, en particulier au niveau local.
La délégation s’est engagée dans un programme de coopération avec le Fonds des Nations unies pour l'enfance (Unicef) en vue de consolider les capacités des associations opérant dans le domaine des droits de l’enfant dans les régions de Tanger-Tétouan-Al Hoceima et Fès-Meknès, afin de soutenir leur contribution à la mise en œuvre de la politique publique intégrée pour la protection de l’enfance et leurs efforts dans la promotion des droits de l’enfant, ajoute la même source.