La première édition de la Rencontre Toudart pour la création, organisée par l’Association Toudart pour la création et le patrimoine musical amazigh les 03 et 04 août, a réuni à Tizinit plus de 70 artistes, musiciens, poètes et créateurs dans le domaine de la chanson amazighe, et en particulier dans l'art de "Tazenzart’’.
Cette rencontre a été aussi l’occasion de grandes retrouvailles entre des artistes qui ne se sont pas retrouvés ensemble depuis les années soixante-dix, début des années quatre-vingts. «Il fut un temps où la musique de Tazenzart était florissante et dans tous les cœurs des amateurs de musique», a déclaré Hassan Benjari du groupe Lemjadile.
Moulay Lahoussaïne Wakhach, Mohamed Chamekh, Moulay Ismaïl Lkidar, Faïssal Bahmouch, Hamid Inerzaf, Abdeljabbar Elfahim, Mohammed Fafan, Hassan Benjari, Bouhcine, Gougharrabou, Mohammed Bayri, Mustafa Igout et tant d’autres artistes amazighs et notamment de Tazenzart étaient les grandes vedettes de cette première Rencontre Toudart. Ahmed Khanboubi, directeur de la rencontre, a souligné que l'objectif de cette rencontre était atteint, à savoir créer une ambiance conviviale entre musiciens, chercheurs et intéressés, motiver la création et l'innovation, et sauvegarder la musique des groupes».
La première journée a été marquée par l'organisation d'un colloque scientifique au cours duquel plusieurs professeurs et chercheurs dont Ahmed Aassid, Ali Zahim, Ahmed Khanboubi, Mohamed Houmam, Abderrahman Belmokhtar et Mohammed Bellouch ont débattu des livres et autobiographies traitant du phénomène des groupes musicaux au Maroc. En fin de journée, tout le monde avait rendez-vous avec une soirée dédiée à la poésie et à la chanson.
La rencontre du deuxième jour, qui a été consacrée aux groupes musicaux, a vu la participation de Mohamed Khattaby, président de la section régionale du Syndicat marocain des professions musicales, les journalistes Ibrahim Baouch et Lahoucine Arjdal, et le professeur Abdallah Achamli. Les participants ont émis, entre autres, les recommandations suivantes : lutter contre la marginalisation de la chanson amazighe dans les médias, réhabiliter les créateurs de la chanson amazighe, et inciter l'Etat à lutter contre la piraterie.
Clou de cette première édition, la présentation, pour la première fois, d’une symphonie amazighe moderne exécutée par une pléiade d’artistes de l’âge d’or de Tazenzart et qui a été très chaleureusement applaudie par le public. Ce fut une véritable prouesse artistique, car celle-ci a été réalisée en moins d’une demi-journée de répétition.
Les organisateurs ont tenu à rendre hommage à un enfant de Tiznit. Il s’agit de notre confrère Abdallah Kouitta, jeune et talentueux animateur de Radio Plus. Ont été également honorés par la même occasion, de nombreux groupes de musique amazighe moderne : Archach, Izenzaren Igout, Izenzaren Chamekh, Ichelhines, Lemjadile, Tilila, Titar, Iguidar, Lakdam, Izmaz, Inerzaf, Ousman, Laryache, Inaguan, Isofa, Imorigun, Aït Daroun, Izmaoun, Ikabarn, Izem, Imazalen, Timitar, Imdiazen, Ibarazen, Issoutar, Aït Lhna, Toudart,…
Cette rencontre a été aussi l’occasion de grandes retrouvailles entre des artistes qui ne se sont pas retrouvés ensemble depuis les années soixante-dix, début des années quatre-vingts. «Il fut un temps où la musique de Tazenzart était florissante et dans tous les cœurs des amateurs de musique», a déclaré Hassan Benjari du groupe Lemjadile.
Moulay Lahoussaïne Wakhach, Mohamed Chamekh, Moulay Ismaïl Lkidar, Faïssal Bahmouch, Hamid Inerzaf, Abdeljabbar Elfahim, Mohammed Fafan, Hassan Benjari, Bouhcine, Gougharrabou, Mohammed Bayri, Mustafa Igout et tant d’autres artistes amazighs et notamment de Tazenzart étaient les grandes vedettes de cette première Rencontre Toudart. Ahmed Khanboubi, directeur de la rencontre, a souligné que l'objectif de cette rencontre était atteint, à savoir créer une ambiance conviviale entre musiciens, chercheurs et intéressés, motiver la création et l'innovation, et sauvegarder la musique des groupes».
La première journée a été marquée par l'organisation d'un colloque scientifique au cours duquel plusieurs professeurs et chercheurs dont Ahmed Aassid, Ali Zahim, Ahmed Khanboubi, Mohamed Houmam, Abderrahman Belmokhtar et Mohammed Bellouch ont débattu des livres et autobiographies traitant du phénomène des groupes musicaux au Maroc. En fin de journée, tout le monde avait rendez-vous avec une soirée dédiée à la poésie et à la chanson.
La rencontre du deuxième jour, qui a été consacrée aux groupes musicaux, a vu la participation de Mohamed Khattaby, président de la section régionale du Syndicat marocain des professions musicales, les journalistes Ibrahim Baouch et Lahoucine Arjdal, et le professeur Abdallah Achamli. Les participants ont émis, entre autres, les recommandations suivantes : lutter contre la marginalisation de la chanson amazighe dans les médias, réhabiliter les créateurs de la chanson amazighe, et inciter l'Etat à lutter contre la piraterie.
Clou de cette première édition, la présentation, pour la première fois, d’une symphonie amazighe moderne exécutée par une pléiade d’artistes de l’âge d’or de Tazenzart et qui a été très chaleureusement applaudie par le public. Ce fut une véritable prouesse artistique, car celle-ci a été réalisée en moins d’une demi-journée de répétition.
Les organisateurs ont tenu à rendre hommage à un enfant de Tiznit. Il s’agit de notre confrère Abdallah Kouitta, jeune et talentueux animateur de Radio Plus. Ont été également honorés par la même occasion, de nombreux groupes de musique amazighe moderne : Archach, Izenzaren Igout, Izenzaren Chamekh, Ichelhines, Lemjadile, Tilila, Titar, Iguidar, Lakdam, Izmaz, Inerzaf, Ousman, Laryache, Inaguan, Isofa, Imorigun, Aït Daroun, Izmaoun, Ikabarn, Izem, Imazalen, Timitar, Imdiazen, Ibarazen, Issoutar, Aït Lhna, Toudart,…
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