Autres articles
L'approvisionnement en eau potable dans la région de Laâyoune-Boujdour-Sakia-El Hamra dépasse les 95 %, selon la direction régionale de l'Office national de l'eau potable (ONEP).
Cette réalisation est due à la mise en œuvre d'un programme lancé sur trois tranches entre 1975 et 2008 ayant nécessité des investissements d'un coût global d'un milliard et 320 millions de dhs, explique un rapport de la direction, soulignant que ce programme a permis la généralisation de l'approvisionnement en eau potable dans la région.
Ces investissements ont permis la réalisation de plusieurs projets dont la construction à Laâyoune et à Boujdour en 1995 de deux stations de dessalement de l'eau de mer.
Ces projets portent également sur la réalisation dans la ville de Tarfaya d'une station de traitement de l'eau potable et la mise en place de plusieurs installations pour l'approvisionnement des centres de Foum El Oued, Mersa et Tah en eau potable.
Ces grands efforts, même s’ils sont louables, n’empêchent pas les habitants de la ville de Laâyoune de vivre des coupures d’eau, sans préavis et qui durent jusqu’à 4 jours successifs. La dernière de ces coupures a eu lieu durant cette semaine. Bien qu’en temps normal, les différents quartiers de la ville aient, à tour de rôle, de l’eau pendant seulement 3 heures par jour.
Cette réalisation est due à la mise en œuvre d'un programme lancé sur trois tranches entre 1975 et 2008 ayant nécessité des investissements d'un coût global d'un milliard et 320 millions de dhs, explique un rapport de la direction, soulignant que ce programme a permis la généralisation de l'approvisionnement en eau potable dans la région.
Ces investissements ont permis la réalisation de plusieurs projets dont la construction à Laâyoune et à Boujdour en 1995 de deux stations de dessalement de l'eau de mer.
Ces projets portent également sur la réalisation dans la ville de Tarfaya d'une station de traitement de l'eau potable et la mise en place de plusieurs installations pour l'approvisionnement des centres de Foum El Oued, Mersa et Tah en eau potable.
Ces grands efforts, même s’ils sont louables, n’empêchent pas les habitants de la ville de Laâyoune de vivre des coupures d’eau, sans préavis et qui durent jusqu’à 4 jours successifs. La dernière de ces coupures a eu lieu durant cette semaine. Bien qu’en temps normal, les différents quartiers de la ville aient, à tour de rôle, de l’eau pendant seulement 3 heures par jour.
Augmenter la taille du texte
Diminuer la taille du texte
Partager
