Mais c'est un roc. Je savais qu'il n'allait pas lâcher, car il a déjà vécu pire en Egypte en Coupe Davis où il avait tout le corps paralysé par des crampes et qu'à chaque changement de côté, il me disait qu'il n'arrivait même plus à tenir sa raquette.....Expérience, expérience.
Dans ce premier chapitre, hommage à ces parents, à tous les parents qui se sacrifient pour la carrière de leurs enfants. Aux entraîneurs et je pense au club de Mohammedia, à Sabri, Benamare et tant d'autres....
Belle photo hier dans les tribunes du Central, celle d'El Aynaoui et Arazi, côte à côte. Comment ne pas les citer, eux, qui nous ont fait vibrer (Alami aussi) pendant plus de dix ans sur ce même court et qui ont conduit le tennis marocain à un très haut niveau et qui ont véhiculé une très bonne image du Maroc à travers le monde ? Une image digne d'un travail de tout un ministère. Le sport et en particulier le tennis marocain, ont besoin de leurs expériences pour préparer le joueur de demain.
Personnellement, je leur serai toujours reconnaissant, car j'ai tant appris et découvert auprès d’eux.
Et ce beau Central n'est pas tombé du ciel, car au début, on n'avait que des gradins démontables, et on avait toujours peur pendant le tournoi en pensant au drame de Furiani en Corse.
Ce fut une lutte acharnée, des efforts intenses, des sacrifices, entre la wilaya et la Communauté de Casablanca et la FRMT, pour arriver à bâtir ce stade. Ce Central magnifique qui peut aujourd'hui accueillir plus de 7000 spectateurs en toute sécurité. Hommage à vous aussi, mesdames et messieurs, qui avaient contribué à la réalisation de ce complexe sportif.
Rendre à César ce qui lui appartient.