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Publication du rapport annuel 2024 de l'Observatoire des délais de paiement
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Bank Al-Maghrib : 20,2 millions de cartes bancaires en circulation en 2023
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Maroc-BAD : 120 M€ pour renforcer la gouvernance et la résilience au changement climatique
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Marché des changes (18-24 juillet) : Le dirham s'apprécie de 0,14% face à l'euro
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Banques et fenêtres participatives : 21,4 MMDH de financements accordés en 2023
Et il a, dans ce cadre, invité l'ensemble des secteurs publics à maîtriser la masse salariale, rationaliser les dépenses et améliorer le rendement et l'efficacité des dépenses d'investissement.
C’est qu’en plus d’être un vrai moulin à paroles, le chef du gouvernement s’autoproclame donneur de leçons !
Quoique plusieurs experts avertis affirment mordicus que Benkirane a la mémoire courte en faisant fi d’un point des plus importants. Ils se rappellent donc qu’en 2009, le Premier ministre d’alors, avait installé un comité de veille stratégique de haut niveau, en impliquant de grosses pointures de l’économie et des finances.
Ce travail de partenariat entre le public et le privé était considéré comme une première. D’ailleurs, chaque secteur avait réalisé son évaluation de l’époque pour identifier à la fin que, crise ou pas, il y a de réelles opportunités à saisir et que le Maroc doit savoir en tirer profit.
Il est donc aisé de constater que, tandis qu’un gouvernement optait pour relever les défis et souhaitait prêter main forte aux secteurs qui en avaient besoin, un autre, mené par le PJD, tend plus à créer des imbroglios et faire damner le citoyen qu’autre chose. Lequel citoyen, qui soit dit en passant, a voté pour l’actuel Exécutif, dans l’espoir qu’il prenne en compte sa dignité et améliore sa situation économique et sociale. Au lieu de cela, ledit gouvernement l’a matraqué à coups de hausses des prix pour le pousser, au bout du compte, à casser sa tirelire ou à contracter des dettes au point de ne plus pouvoir vivre décemment !