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La commission de recours de la Fédération internationale de football (Fifa) avait confirmé jeudi en appel cette sanction.
"Ma prochaine étape est d'aller devant le TAS, car j'y serai d'égal à égal avec mon rival (la Fifa et son président Joseph Blatter, ndlr), explique le Qatari. Je vois la lumière au bout du tunnel et j'avance confiant vers elle".
"Nous avions même pensé écrire à la Fifa pour demander de +sauter+ la procédure des appels, arriver directement à un verdict de culpabilité en appel, pour pouvoir ainsi aller tout de suite devant le TAS", conclut-il. L'affaire avait éclaté fin mai, juste avant l'élection présidentielle à la Fifa où Bin Hammam était opposé au président sortant, Blatter.
Bin Hammam était accusé d'avoir acheté des voix lors d'une réunion de la Confédération du football caribéen début mai à Trinité-et-Tobago, avec des enveloppes contenant 40.000 dollars.
Le Qatari avait alors retiré sa candidature juste avant son premier passage le 29 mai devant le comité d'éthique de la Fifa qui l'avait suspendu à titre provisoire, le temps d'une enquête interne.
Blatter, seul candidat en lice, avait été réélu dans une ambiance délétère le 1er juin, le mot de corruption étant sur toutes les lèvres. Bin Hammam a ensuite été radié à vie par la Fifa le 23 juillet, en première instance.