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Vague de froid, de mardi à vendredi, dans plusieurs provinces du Royaume
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Casablanca au cœur des défis de la santé infantile
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L'Institut supérieur de la magistrature et l'ENSA renforcent leur coopération dans le domaine de la formation
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La Kasbah d'Amridil, un bijou de l'architecture et de l'histoire
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Tramway de Rabat-Salé: interruption temporaire du service, les 11 et 12 janvier, entre "Pont Hassan II" et "Place du 16 Novembre"
Chaque Jdidi voudrait avoir des informations sur le développement de la ville nouvelle et les infrastructures sociales pour accueillir les nouvelles populations : centres de santé, écoles, postes, transport en commun, parcs et jardins, postes de police, ...bref, tous les services de base dont une population peut avoir besoin.
Sur l'évolution de la zone industrielle d’El Jorf Lasfar, d'Azemmour, ou de Bir Jdid;
- L'avancement de l'autoroute El Jadida-Safi;
- La place accordée au tourisme et au tourisme écologique;
- Les projets économiques et sociaux et tous les projets pilotes destinés à booster la région.
Mais sur un autre registre, El Jadida que l'on croit ville tranquille, est, d’après notre ministère de l'Intérieur, la 2ème ville du Maroc connue pour son taux de criminalité... Qui l’aurait cru ?
El Jadida où on a des hauts-le-cœur, à chaque fois qu’on traverse le centre-ville et qu’on voit l'immeuble Cohen au bord de l’effondrement, sans que cela semble inquiéter. Faudra-t-il attendre la chute d'un morceau de balcon sur la tête d'un passant pour réagir? Et qui en sera le véritable responsable dans ce cas?
Le gérant du café qui installe ses clients sous ces balcons menaçants? Le propriétaire de l’immeuble qui ne fait rien et attend que cela se dégrade davantage avant d’en chasser les occupants et raser le tout? Les pouvoirs publics qui laissent faire sans réagir? El Jadida accueille chaque saison estivale un afflux important de vacanciers. L'infrastructure hôtelière se développe, on ne peut que le constater, mais les rues de la capitale des Doukkala ne peuvent recevoir autant de véhicules vu la rareté des parkings. Le centre-ville ressemble à un souk hebdomadaire par ses ferrachas, ses vendeurs ambulants, ses occupations anarchiques des trottoirs, ses gargotes improvisées… et ce, au vu et au su des autorités locales …sans que rien de concret ne soit fait. Des quartiers sont dénaturés, comme l'espace El Kalaâ, où de l'eau puante stagne depuis des lustres au grand dam des habitants.
Au début de l'avenue Mohammed V, face à Bank Al-Maghrib se trouve un bâtiment inachevé qui sert de toilettes publiques près d'un arrêt de bus.
Quelles solutions pourrait-on proposer pour remédier à ces laideurs urbaines?
Des rumeurs de plus en plus persistantes parlent d’une société de service qui travaille autour de la Cité portugaise et qui se serait emparée de 2 canons des remparts ... Si cela se vérifiait, ce serait là un scandale. Un de plus …
Voici une série de questions que se posent les Jdidis… en attendant qu’un responsable, daigne leur donner des réponses convaincantes.