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« Ce n’est pas l’impression qu’ils me donnent. D’autant que la peur n’a pas sa place au plus haut niveau. Moi, je ne l’ai jamais ressentie dans mon métier. Je suis un professionnel et je l’assume. Quand j’ai débarqué à la Juventus (en 2004), il y avait des footballeurs tels que Del Piero, Thuram, Vieira, Nedved, Cannavaro, Trezeguet… Tous ces grands joueurs ne m’ont rien donné de gratuit. J’ai dû travailler dur chaque jour pour gagner ma place, puis leur respect. Si j’en suis là aujourd’hui, ce n’est pas parce que quelqu’un m’a servi sur un plateau d’argent. Pour résumer, celui qui a peur doit changer de métier. Il vaut mieux qu’il joue au ballon sans pression, dans son jardin », a-t-il lancé, s’amusant ensuite de l’image qu’il peut renvoyer.
« Moi, je suis le “bad boy” ! Tout le monde joue mal, à part moi, bien sûr… (sourire) J’ai entendu dire que certaines personnes me voyaient comme ça, alors, je m’en amuse. L’important, dans la vie d’une équipe, c’est d’être honnête les uns envers les autres. C’est ma philosophie. Je ne cherche pas à jouer un rôle mais juste à être moi-même. Ma volonté est d’aider le club à être plus fort. Je ne suis pas là pour être sympa ou pour être acclamé. Je suis là pour gagner. Et c’est uniquement là-dessus que je dois être jugé », a-t-il confié avant de se dire surpris de l’engouement du public pour le projet rouge-et-bleu. « Lorsque je me suis engagé au Paris Saint-Germain, les gens me répétaient que j’allais être très tranquille ici, car les Parisiens ne s’intéressent pas trop au football. Mais depuis le premier jour, j’observe que les choses ne sont pas du tout comme on me les avait présentées. En fait, il y a beaucoup d’effervescence autour de moi et de l’ensemble du groupe. Mais n’allez pas croire que cela m’agace, au contraire », a-t-il avoué. La pression, Zlatan adore ça. C’est un moteur qui le pousse à donner le meilleur de lui-même. « Je veux faire gagner le Paris Saint-Germain, mon club, c’est tout ce qui compte. (...) Je veux tout gagner ! J’ai mal vécu notre élimination en Coupe de la Ligue, donc, j’aimerais éviter que ça se reproduise. Il nous reste trois compétitions à jouer, à nous d’être au rendez-vous dans les trois », a-t-il conclu. Tout le monde est prévenu !