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Ce projet cofinancé par l'Agence de développement des provinces du sud et le ministère de la Culture, explique Saïd Charradi, président de l'association constitue une contribution pour mettre en lumière les efforts accomplis par l'Etat dans le domaine des infrastructures, sous toutes leurs formes et au progrès et la préservation de la chanson hassanie afin de rehausser le niveau de cette musique et faire de telle sorte qu'elle puisse évoluer, à l'instar des différentes musiques arabes.
Charradi a indiqué que ces derniers temps ont été marqué par l'enregistrement de cinq chansons qui parlent de Laâyoune, Tarfaya, Boujdour, Tan Tan et Smara.
Ces chansons sont l'œuvre d'artistes sahraouis tel que Rachida Talal, Najim Mohamed Omar, Hasna Lanjourni.
Cinq autres œuvres musicales concernant les villes de Guelmim, Tata, Assa Zag et Dakhla sont programmées.
Ces travaux, explique Charradi qui considère que l'entrée de la musique hassanie dans le monde du vidéoclip constitue une grande mutation, ont pu voir le jour grâce au concours de l'Agence du Sud, de la wilaya de Laâyoune, de la chaîne régionale de télévision de Laâyoune et de l'association Manar pour la musique et la culture hassanies.