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Selon le groupe DSGV, qui représente les banques du secteur public, environ 20 millions de cartes de retrait émises par ces établissements ont été affectées ainsi que quelque 3,5 millions de cartes de crédit, soit près de la moitié du total des cartes bancaires délivrées par les banques concernées.
BVR, représentant les banques coopératives, a, de son côté, annoncé qu’environ quatre millions de cartes de débit émises par ses membres -soit environ 15% de leur total- ont également souffert d’un logiciel défectueux, sans que cela n’ait toutefois de conséquences sur les opérations de retrait d’argent. Les cartes de crédit n’ont pas été touchées.
De plus, 2,5 millions de cartes émises par des banques privées allemandes ont été affectées.
DSGV a précisé que les distributeurs avaient été adaptés quelques heures après la découverte du bug pour permettre aux clients de retirer de l’argent mais que quelques problèmes risquaient de subsister avec certains terminaux.
Les problèmes persistent pour les cartes de crédit, et les clients sont invités à utiliser les cartes de retrait pour le moment, ajoute DSGV.
Le système informatique des cartes n’est pas arrivé à intégrer l’année 2010, un bug qui rappelle le fameux “bug de l’an 2000”, très redouté par les experts. Les experts informatiques craignaient à l’époque que les ordinateurs et réseaux informatiques ne tombent tous en panne au moment du passage à l’an 2000. Ils pensaient que les systèmes, qui n’utilisaient alors que deux chiffres pour représenter l’année, allaient confondre l’année 2000 avec l’année 1900. Au bout du compte, le bug du millénaire n’avait finalement causé que de rares problèmes.