La liste des joueurs de l’équipe nationale marocaine de football actuellement en stage de préparation à Lisbonne au Portugal a été quelque peu chamboulée. En effet, des absences pour le moins inattendues ont contraint Gerets à remanier son effectif en y incorporant des remplaçants par... défaut. Ces absences seraient dues semble-t-il à des maladies ou à des blessures. C’est ainsi donc que Marouane Chamakh (Arsenal), malade, a été laissé à son lit et que Zakarya Labied légèrement blessé est resté à la disposition de son club le Sporting de Lisbonne pour un « prompt rétablissement » et enfin Mehdi Benatia naufragé bien malgré lui lors de Udinese-Juventus (1-4) a fait savoir que l’on ne pouvait pas compter sur ses services. A quelque chose malheur est bon, ils auront été remplacés par trois arrivées dont au moins deux sont bien précieuses, celles d’Abdelaziz Barrada et de Said Fettah. Par contre, Ahmed Chagou (DHJ) palliant à Benatia est la surprise du bon chef Eric. La providence faisant bien les choses parfois, on ne peut pas s’empêcher de nous réjouir de la voir quelque peu rectifier le tir de Gerets du moins pour ce qui est de Barrada. Le Belge avait préféré à ce dernier, auteur de deux buts en trois prestations de haut niveau, Marouane Chamakh qui ne figurait même pas sur la liste des appellés dans son équipe. Said Fettah est aussi d’un renfort certain et n’en déplaise au talentueux Labied, la sélection marocaine manque visiblement d’un milieu récupérateur supplémentaire, Ahmadi et Kharja aux allants plus offensifs se soulageraient bien mieux de cette ingrate tâche.
Sinon, ils restent quelques hics dictés, dont Gerets de ses balbutiements et hésitations ne pourra pas se débarrasser de sitôt et là, Dame Providence n’y aura rien pu, puisque Adil Taarabt et Yassine Salhi, c’est écrit, lui colleront à la culotte jusqu’au bout et ce malgré de flagrantes défaillances plus au niveau de l’assiduité et de la discipline que du talent proprement dit. Les deux joueurs brillent de par leur absence pour des problèmes disciplinaires avec leurs clubs et coachs respectifs, les QPR et Mark Hughes et le RCA et M’hamed Fakhir. La moindre des choses c’est de jouer la solidarité entre gens du même corps de profession. De plus, on ne voit pas la valeur ajoutée de joueurs n’ayant pas encore foulé officiellement le gazon qui plus est en début de saison.
Cela étant, le voyage au Mozambique ne s’annonce pas de tout repos en dépit de la modestie de l’adversaire et même des circonstances tout à fait favorables à notre séjour car excepté le public un peu trop chaleureux et plutôt proche, tout se prête pour que le Maroc fasse un résultat positif voire décisif à l’aller. La pelouse est excellente, le climat est le même que celui actuel ici-bled, et l’arbitrage est d’une correction infaillible. Le Kényan Kirwa Sylvester nous avait déjà sifflés lors du Maroc-Nigeria (1-0) comptant pour les qualifications des derniers J.O. Il avait fait preuve d’une correction infaillible.
Sinon, ils restent quelques hics dictés, dont Gerets de ses balbutiements et hésitations ne pourra pas se débarrasser de sitôt et là, Dame Providence n’y aura rien pu, puisque Adil Taarabt et Yassine Salhi, c’est écrit, lui colleront à la culotte jusqu’au bout et ce malgré de flagrantes défaillances plus au niveau de l’assiduité et de la discipline que du talent proprement dit. Les deux joueurs brillent de par leur absence pour des problèmes disciplinaires avec leurs clubs et coachs respectifs, les QPR et Mark Hughes et le RCA et M’hamed Fakhir. La moindre des choses c’est de jouer la solidarité entre gens du même corps de profession. De plus, on ne voit pas la valeur ajoutée de joueurs n’ayant pas encore foulé officiellement le gazon qui plus est en début de saison.
Cela étant, le voyage au Mozambique ne s’annonce pas de tout repos en dépit de la modestie de l’adversaire et même des circonstances tout à fait favorables à notre séjour car excepté le public un peu trop chaleureux et plutôt proche, tout se prête pour que le Maroc fasse un résultat positif voire décisif à l’aller. La pelouse est excellente, le climat est le même que celui actuel ici-bled, et l’arbitrage est d’une correction infaillible. Le Kényan Kirwa Sylvester nous avait déjà sifflés lors du Maroc-Nigeria (1-0) comptant pour les qualifications des derniers J.O. Il avait fait preuve d’une correction infaillible.
Jo de Paris. La presse américaine se fait l’écho de la “large ” victoire du Maroc sur l'équipe US
