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Romenio Pereira a ajouté que, dans ce contexte, « un soutien plus expressif vis-à-vis du plan d’autonomie du Maroc peut, bien sûr, être considéré ».
« Un soutien plus expressif vis-à-vis du plan d’autonomie présenté par le Maroc peut, bien sûr, être considéré, dès lors que cette autonomie repose sur le dialogue, sur un engagement envers le droit international et contribuera au bien-être des populations concernées », a souligné Romenio Pereira dans une déclaration à la MAP.
"Je pense que le Brésil devrait continuer à soutenir ces efforts et initiatives qui favorisent la paix et la stabilité dans la région", a-t-il estimé.
Selon M. Pereira, qui se rendra prochainement en visite au Maroc, “le Brésil maintient une position équilibrée et constructive sur la question (du Sahara), tout en soutenant les efforts des Nations unies dans la recherche d'une solution politique pacifique, consensuelle et mutuellement acceptable”.
A cet égard, il a rappelé le soutien exprimé par le Sénat brésilien en juin 2023 en faveur du plan d’autonomie proposé par le Maroc en 2007.
Il a également évoqué la visite du ministre brésilien des Affaires étrangères à Rabat, un an plus tard, au cours de laquelle il avait salué les efforts sérieux et crédibles déployés par le Royaume pour aller de l’avant vers un règlement de ce différend.
Par ailleurs, M. Pereira a qualifié de “prometteur” l'avenir des relations entre Rabat et Brasilia, soutenant que de nombreuses opportunités de coopération s’offrent dans divers domaines.
“Les récentes visites de représentants brésiliens de haut rang au Maroc et la réouverture de la ligne aérienne Casablanca-Sao Paulo (en décembre prochain) reflètent l'intérêt croissant pour le renforcement des relations bilatérales”, a-t-il poursuivi.
"Cette dynamique, a-t-il conclu, permettra de renforcer les échanges commerciaux et la collaboration, notamment dans les domaines de la sécurité alimentaire, de l'économie verte, du tourisme, de la culture et de la technologie. Elle permettra également de répondre aux défis liés au changement climatique, au bénéfice des deux nations".