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Poteau penché : à la 87e minute de Togo-Algérie (2-0), le milieu des Fennecs Guedioura tombe dans les filets adverses et déséquilibre le poteau droit d’Agassa. Arrêt du match, le temps pour les officiels et les techniciens de redresser le montant, d’où 13 minutes de temps additionnel. Un incident rarissime dans le football, qui s’était déjà produit au Mondial-1994 lorsque le Mexicain Bernal avait brisé sa cage, qu’il avait fallu remplacer.
Le pro des “pénos”. Le gardien zambien Mweene est le spécialiste africain des penalties. En quatre matches consécutifs à cheval sur les CAN 2012 et 2013, il y eut un penalty sifflé par match contre les Chipolopolos, et aucun transformé: demi-finale (arrêt devant le Ghanéen Gyan) et finale 2012 (l’Ivoirien Drogba tire au-dessus), puis en 2013 contre l’Ethiopie (arrêt devant Saladin Said) et le Nigeria (Obi Mikel tire à côté). Dans ce dernier match, Mweene se permet même d’égaliser, à la 85e minute, sur... penalty.
La danse “tape-cul” : au gardien congolais Kidiaba le prix de la danse la plus fantasque pour fêter un but: assis sur la pelouse, il faisait des petits bonds en actionnant le postérieur et les jambes devant lui, tout en mimant des bras une cavalcade. Un exercice de musculation abdominale devenue célébration originale, et que ses coéquipiers ont imité après avoir égalisé contre le Mali (1-1).
Platini à la CAN : Platini était bel et bien présent à la Coupe d’Afrique, et a marqué un but! Et même le premier dans une CAN pour le Cap-Vert néophyte à ce niveau, par l’entremise de Luis Soares alias Platini, surnom floqué sur son maillot en raison de son admiration pour l’ancien capitaine de l’équipe de la France et actuel président de l’UEFA.
Jaune sang : pas de sang chez moi, tel était en substance le message adressé par l‘arbitre du quart de finale Afrique du Sud-Mali (1-1 a.p., 1-3 t.a.b.) à Masilela: le défenseur des Bafana Bafana, qui saignait après un coup reçu au nez et s’est fait soigner sur le bord du terrain, a reçu un carton jaune pour avoir repris le jeu vêtu du même maillot, maculé de sang.
A 10 contre 11 : pour débuter la seconde période d’Afrique du Sud-Angola (2-0), les lusophones étaient dix sur le terrain, alors qu’aucun carton rouge n’avait été délivré. “Il y a eu des incidents alarmants comme nous faire commencer la seconde période à dix alors qu’on avait demandé à faire un changement, cela ne justifie pas notre défaite mais il faudra se pencher sur ces incidents”, s’est plaint le sélectionneur des Palancas negras, Gustavo Ferrin, en faisant remarquer que les Bafana Bafana avaient eu, eux, le droit de faire leur changement...
Lancer de javelots : peu avant la mi-temps d’Ethiopie-Zambie (1-1), afin de protester contre l’exclusion de leur gardien pour une faute pourtant grossière en-dehors de sa surface (36e), les supporteurs éthiopiens venus en masse dans le stade se sont servis des vuvuzelas, les fameuses trompettes zouloues à son de klaxon, comme de projectiles.