Merouane El Moutalibi ex- joueur du FUS basket, de l’équipe nationale et du club belge Royale Alsec Nivelles D2 saison 2008/2009 est un pur produit de l’école du FUS, jouant actuellement au club Plazza de Casablanca où il brille de mille feux.
Né le 3 janvier 1982 à Rabat, il a fait toutes ses classes au FUS depuis les minimes jusqu’en équipe première. En 2007, Merouane fut sollicité à jouer comme professionnel en Belgique au club Royale d’Alsec Nivelles en D2.
Pourtant El Moutalibi n’a jamais oublié son club d’origine le FUS et ses encadreurs Raggani, Driss El Houari, Mallé Sénéga, Rachid EL Yatribi, des anciennes gloires des années 80 et 90. «Il n’y a pas de recette spéciale pour atteindre un niveau respectable ; seul le travail paie », confie Merouane. Avec une carrure de 1m, 92 et 94kg, il se taille rapidement une réputation d’attaquant sur la raquette. C’est également un excellent passeur et marqueur capable d’accumuler les points lorsque les défenses des équipes adverses baissent leur garde.
Cet excellent basketteur a contribué à maintes reprises aux succès de son équipe le FUS : champion du Maroc en 2001, vainqueur de la Coupe du Trône en 2002 face au MAS de Fès, finaliste de la Coupe du Trône de l’édition 2003 contre le MAS et un doublé historique en 2004, coupe et championnat. Il compte également plusieurs participations avec l’équipe nationale comme lors des tournois de Tourcoing en France en 2002, du roi Abdallah II en Jordanie et d’Alger où le Maroc s’est illustré devant les meilleures formations maghrébines, la Tunisie l’Algérie et la Libye.
Il enregistre des statistiques impressionnantes en réalisant une moyenne supérieure à 20 pts par match. C’est aussi un redoutable défenseur. Il est très à l’aise dans les rebonds offensifs et défensifs. Plusieurs fois sélectionné en équipe nationale du Maroc, sa meilleure participation reste au championnat d’Afrique à Alexandrie en Egypte.
Pour viser les sommets, une équipe a besoin d’un chef qui puisse guider ses coéquipiers et diriger les opérations dans les moments décisifs, Merouane El Moutalibi est de cette trempe. C’est pourquoi les dirigeants du club Sport Plazza sous la direction de son président Driss Chraïbi ont effectué le voyage en Belgique pour dénicher de nouveau cet oiseau rare oublié par le basketball national. Une fois que les dirigeants du FUS ont su que El Moutalibi est de retour pour renforcer les rangs du SP, ils se sont opposés à ce transfert sous- prétexte que ce joueur est fussiste et qui n’a pas le droit de signer une licence sans l’accord de son club d’origine. Selon les responsables de la FRMBB, le joueur en question est libre et ne dispose pas de contrat le liant au FUS. Dans ce sens, des efforts ont été déployés par le bureau fédéral pour mettre un terme à ce litige. En dépit de tout cela les dirigeants du FUS réclament toujours Merouane. Preuve en est, les réserves déposées contre la présence de ce dernier avec le SP lors de la huitième-journée des matchs aller. Merouane El Moutalibi se dit très surpris par les agissements des dirigeants fussistes avec lesquels, il garde toujours des liens fraternels basés sur le respect et le fair-play. Et s’il était contacté par le FUS en premier lieu, il serait le plus heureux pour retourner au club de ses premières amours. Pour l’heure, El Moutalibi se plait avec son nouveau club et remercie infiniment tous les sportifs qui l’ont soutenu de près ou de loin.
Né le 3 janvier 1982 à Rabat, il a fait toutes ses classes au FUS depuis les minimes jusqu’en équipe première. En 2007, Merouane fut sollicité à jouer comme professionnel en Belgique au club Royale d’Alsec Nivelles en D2.
Pourtant El Moutalibi n’a jamais oublié son club d’origine le FUS et ses encadreurs Raggani, Driss El Houari, Mallé Sénéga, Rachid EL Yatribi, des anciennes gloires des années 80 et 90. «Il n’y a pas de recette spéciale pour atteindre un niveau respectable ; seul le travail paie », confie Merouane. Avec une carrure de 1m, 92 et 94kg, il se taille rapidement une réputation d’attaquant sur la raquette. C’est également un excellent passeur et marqueur capable d’accumuler les points lorsque les défenses des équipes adverses baissent leur garde.
Cet excellent basketteur a contribué à maintes reprises aux succès de son équipe le FUS : champion du Maroc en 2001, vainqueur de la Coupe du Trône en 2002 face au MAS de Fès, finaliste de la Coupe du Trône de l’édition 2003 contre le MAS et un doublé historique en 2004, coupe et championnat. Il compte également plusieurs participations avec l’équipe nationale comme lors des tournois de Tourcoing en France en 2002, du roi Abdallah II en Jordanie et d’Alger où le Maroc s’est illustré devant les meilleures formations maghrébines, la Tunisie l’Algérie et la Libye.
Il enregistre des statistiques impressionnantes en réalisant une moyenne supérieure à 20 pts par match. C’est aussi un redoutable défenseur. Il est très à l’aise dans les rebonds offensifs et défensifs. Plusieurs fois sélectionné en équipe nationale du Maroc, sa meilleure participation reste au championnat d’Afrique à Alexandrie en Egypte.
Pour viser les sommets, une équipe a besoin d’un chef qui puisse guider ses coéquipiers et diriger les opérations dans les moments décisifs, Merouane El Moutalibi est de cette trempe. C’est pourquoi les dirigeants du club Sport Plazza sous la direction de son président Driss Chraïbi ont effectué le voyage en Belgique pour dénicher de nouveau cet oiseau rare oublié par le basketball national. Une fois que les dirigeants du FUS ont su que El Moutalibi est de retour pour renforcer les rangs du SP, ils se sont opposés à ce transfert sous- prétexte que ce joueur est fussiste et qui n’a pas le droit de signer une licence sans l’accord de son club d’origine. Selon les responsables de la FRMBB, le joueur en question est libre et ne dispose pas de contrat le liant au FUS. Dans ce sens, des efforts ont été déployés par le bureau fédéral pour mettre un terme à ce litige. En dépit de tout cela les dirigeants du FUS réclament toujours Merouane. Preuve en est, les réserves déposées contre la présence de ce dernier avec le SP lors de la huitième-journée des matchs aller. Merouane El Moutalibi se dit très surpris par les agissements des dirigeants fussistes avec lesquels, il garde toujours des liens fraternels basés sur le respect et le fair-play. Et s’il était contacté par le FUS en premier lieu, il serait le plus heureux pour retourner au club de ses premières amours. Pour l’heure, El Moutalibi se plait avec son nouveau club et remercie infiniment tous les sportifs qui l’ont soutenu de près ou de loin.
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