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« Mon ami l’automne » propose une rencontre entre la peinture et l’écriture à travers quatre excellentes œuvres de l’artiste Moa Bennani, signées et numérotées, et des textes poétiques traduits en français et en espagnol.
On y retrouve dans son écrin des œuvres d’art éditées en série limitée, signées et numérotées par l’artiste peintre, et un texte poétique et/ou littéraire. Destinées aux amateurs d’art et de bibliophilie, « les œuvres graphiques peuvent être encadrées pour la décoration d’espaces ou constituer un cadeau original et un faire-valoir culturel », souligne l’éditeur qui revendique la publication de quarante porte-folios.
Natif de Tétouan en 1943, de Moa Bennani est détenteur d’une licence en Arts plastiques, peinture, gravure, de l’Ecole supérieure des Beaux-Arts de Paris.
L’œuvre de Mohamed Bennani Moa offre une place centrale à la nature, au ciel, à la mer qui change continuellement de couleur et de forme, qui oxyde et corrode, et la lumière aveuglante qui vibre et varie. « Il y a le silence et l’atmosphère en suspens, la poussière du désert que l’on sent dans l’air et les choses. Ses toiles sont des aplats scandés par une ample palpitation de rouge, de bleu et d’ocre ».
Les travaux du peintre ont été exposés dans plusieurs villes au Maroc comme à l’étranger. Moa Bennani vit et travaille actuellement entre Paris et Rabat.
Licenciée en Lettres et Langue arabe de l’Université Mohamed V de Rabat, Bassry Aïcha naît en 1960 à Settat. Membre de la Maison de la Poésie et de l’Union des écrivains du Maroc, elle est l’auteur de nombreux poèmes, traduits en français, espagnol, catalan, italien ainsi qu’en turc, dont certains ont été publiés dans différents journaux nationaux et internationaux.
Parmi ses œuvres poétiques les plus remarquées citons: « Après-midi », «D’un balcon assombri », et son dernier recueil « l’Insomnie des anges » paru aux Editions Marsam. Elle est également l’auteur d’une critique sur « L’ironie dans la poésie de Mahmoud Darwish ».
Aïcha Bassry parle de sa passion en ces termes : “J’écris non pour lutter violemment contre la vie, mais pour protester d’une manière artistique. La poésie est ma deuxième vie. Quand le quotidien m’emprisonne, la poésie est mon refuge unique. Écrire une poésie est un état d’esprit, bien avant de n’être qu’un jeu de mots”. La poétesse exerce aujourd’hui en tant que professeur d’arabe à Casablanca.
Ce soir à 18h30
Galerie d’art Marsam
6 , Rue Jbel Bouiblane, Triangle d’or.
Casablanca.
Repères:
-Licence : Arts Plastiques, Peinture et Gravure
-1989-1991 : Cité Internationale des Arts. Paris ?bourse de recherches artistiques attribuée par le service Culturel de l’Ambassade de France Ministère des Affaires Etrangères
Atelier de la ville de Paris
Atelier Sylvestry, Matières - Installations
E.N.S.B.A. Paris - France