Marc Planus, le défenseur de Bordeaux, estime que les champions de France en titre, actuellement cinquièmes de la Ligue 1, se doivent au minimum de terminer sur le podium.
Les Girondins disputeront mercredi au Mans le premier de leurs deux matches en retard. Ils ont un handicap de six points sur Marseille, le leader.
"Terminer le championnat dans les trois premiers, c'est un minimum vu la qualité du groupe", dit Planus dont l'équipe a depuis le début de l'année perdu le capital engrangé dans la première moitié du championnat.
Bordeaux reste sur deux défaites consécutives. Trois jours après s'être imposé face à Lyon en quart de finale retour de Ligue des champions, 1-0, score insuffisant pour se qualifier après le match aller (3-1 pour Lyon), Bordeaux a de nouveau sombré samedi au Parc des Princes face au PSG, 3-1.
"On est déçu de nous-mêmes. Contre Lyon, on a fait un bon match et on n'a pas été récompensé. Et à Paris, dans le contenu, ce n'est pas un mauvais match mais on se plombe un peu le résultat. En ce moment, on est noir et la moindre petite erreur, on la paie cash", dit Marc Planus, rapporte Reuters.
Planus, l'un des joueurs les plus expérimentés de cette formation bordelaise, qui a fait son retour face à Lyon après un mois d'absence, estime que c'est aux joueurs de montrer que "ce groupe est fort, pas seulement dans la victoire mais aussi dans les moments difficiles". "Certes, on n'a pas été habitué à vivre ça mais je pense que pour les joueurs, pour ceux qui ont des ambitions après le championnat avec l'équipe de France et avec leur équipe nationale, il faut qu'on montre autre chose", souligne-t-il.
La solution passe pour lui par "plus de simplicité individuelle" en reconnaissant que Bordeaux est dans une situation délicate par rapport à ses ambitions.
"Le match du Mans, si on prend des points, peut lancer notre sprint final. Cela devient impératif de prendre trois points", ajoute Planus, qui a précisé que sa prolongation de contrat, un temps remise en cause, était désormais en bonne voie.
Il dit en outre s'entendre bien avec le staff technique et indique qu'il y a une chance que Laurent Blanc, pressenti pour prendre les rênes de l'équipe de France après la Coupe du monde, et son adjoint Jean-Louis Gasset restent en Gironde.
"Je lis la presse sportive, rarement, mais d'après ce que j'entends, c'est du 50-50. Le coach n'en parle jamais. Il nous a dit une fois 'ne vous inquiétez pas, je vous tiendrai au courant'. S'il ne nous dit rien, c'est bon signe pour nous et pour le club", conclut Marc Planus.
Au Mans, Laurent Blanc sera privé des milieux de terrain Fernando, qui souffre de fractures au visage, et Grégory Sertic, handicapé par une fracture du gros orteil. Le deuxième gardien de but Ulrich Ramé sera lui aussi absent après son expulsion à Paris. Le gardien titulaire Cédric Carrasso, qui souffrait des adducteurs, est en phase de reprise. Le milieu et capitaine Alou Diarra, touché à une cuisse face à Lyon et absent à Paris, reste, lui, incertain.
Les Girondins disputeront mercredi au Mans le premier de leurs deux matches en retard. Ils ont un handicap de six points sur Marseille, le leader.
"Terminer le championnat dans les trois premiers, c'est un minimum vu la qualité du groupe", dit Planus dont l'équipe a depuis le début de l'année perdu le capital engrangé dans la première moitié du championnat.
Bordeaux reste sur deux défaites consécutives. Trois jours après s'être imposé face à Lyon en quart de finale retour de Ligue des champions, 1-0, score insuffisant pour se qualifier après le match aller (3-1 pour Lyon), Bordeaux a de nouveau sombré samedi au Parc des Princes face au PSG, 3-1.
"On est déçu de nous-mêmes. Contre Lyon, on a fait un bon match et on n'a pas été récompensé. Et à Paris, dans le contenu, ce n'est pas un mauvais match mais on se plombe un peu le résultat. En ce moment, on est noir et la moindre petite erreur, on la paie cash", dit Marc Planus, rapporte Reuters.
Planus, l'un des joueurs les plus expérimentés de cette formation bordelaise, qui a fait son retour face à Lyon après un mois d'absence, estime que c'est aux joueurs de montrer que "ce groupe est fort, pas seulement dans la victoire mais aussi dans les moments difficiles". "Certes, on n'a pas été habitué à vivre ça mais je pense que pour les joueurs, pour ceux qui ont des ambitions après le championnat avec l'équipe de France et avec leur équipe nationale, il faut qu'on montre autre chose", souligne-t-il.
La solution passe pour lui par "plus de simplicité individuelle" en reconnaissant que Bordeaux est dans une situation délicate par rapport à ses ambitions.
"Le match du Mans, si on prend des points, peut lancer notre sprint final. Cela devient impératif de prendre trois points", ajoute Planus, qui a précisé que sa prolongation de contrat, un temps remise en cause, était désormais en bonne voie.
Il dit en outre s'entendre bien avec le staff technique et indique qu'il y a une chance que Laurent Blanc, pressenti pour prendre les rênes de l'équipe de France après la Coupe du monde, et son adjoint Jean-Louis Gasset restent en Gironde.
"Je lis la presse sportive, rarement, mais d'après ce que j'entends, c'est du 50-50. Le coach n'en parle jamais. Il nous a dit une fois 'ne vous inquiétez pas, je vous tiendrai au courant'. S'il ne nous dit rien, c'est bon signe pour nous et pour le club", conclut Marc Planus.
Au Mans, Laurent Blanc sera privé des milieux de terrain Fernando, qui souffre de fractures au visage, et Grégory Sertic, handicapé par une fracture du gros orteil. Le deuxième gardien de but Ulrich Ramé sera lui aussi absent après son expulsion à Paris. Le gardien titulaire Cédric Carrasso, qui souffrait des adducteurs, est en phase de reprise. Le milieu et capitaine Alou Diarra, touché à une cuisse face à Lyon et absent à Paris, reste, lui, incertain.
Tirage au sort de la CAN Maroc-2025
