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Ayant passé de bien longues décennies dans le handball, en tant que dirigeant incontournable de la fameuse Rabita de Derb Ghallef comme de la FRHB, il est le mieux placé pour savoir que la petite balle nationale n’est pas près de rebondir au rythme des aspirations placées en elle depuis des lustres, si les conditions de la pratique restent ce qu’elles sont, ce qu’elles ont toujours été.
Les plus nostalgiques, les moins jeunes aussi, vous parleront de ce bon vieux temps où les équipes de l’époque, scolaires ou autres, vous servaient, au gré des week-ends, des matchs de haute facture. Beaucoup de temps s’est passé depuis. Et l’on ne peut ne pas reculer, faute de pouvoir avancer. Certes, l’on peut se targuer de cinq qualifications aux phases finales du Mondial. Mais l’on ne peut aller au-delà. Comme il nous est pratiquement interdit d’aspirer au podium africain monopolisé par l’Egypte, la Tunisie et l’Algérie. Le championnat national doit être repensé autrement. Il doit changer de physionomie. Et les dirigeants de mentalité.
La répartition des équipes en trois poules a fait jaser, avant que Tatbi ne se voie obligé de faire marche arrière face à la farouche opposition de quelques clubs et pas des moindres. Beaucoup plus que le projet de restructuration lui-même,c’est, disent les contestataires, « l’arbitraire » ayant imprégné ladite répartition qui dérange.
On est donc revenu à deux poules. Le président ne reste pas moins décidé d’en arriver à une seule de douze clubs dite d’excellence. Ce sera, apparemment pour 2010.