-
Les Etats-Unis autorisent un vaccin contre la grippe à s'administrer soi-même
-
Des pistes pour améliorer diagnostic et traitement des troubles de l'attention chez l'enfant
-
Les Etats-Unis accusent les géants des réseaux sociaux de "surveillance de masse"
-
Pêcher "moins et mieux": L'appel de scientifiques pour une pêche vraiment durable
-
Une collection de pièces de monnaie rapporte 14,8 millions d'euros aux enchères
Fin novembre, elle avait détrôné "Baby", du chanteur canadien Justin Bieber, de la place de clip le plus regardé de l'histoire de YouTube, dépassant en quatre mois les 800 millions de vues, alors qu'il avait fallu plus de deux ans à "Baby". "C'est un véritable phénomène culturel pop", soulignait alors "Billboard", le magazine américain professionnel dédié à la musique.
Malgré des paroles en sud-coréen, les pas de danse et le rythme diabolique de la mélodie ont séduit au-delà des frontières le grand public comme les célébrités et les grands de ce monde, de Ban Ki-moon, le secrétaire général de l'ONU, au maire de Londres Boris Johnson, en passant par le président américain Barack Obama.
Au matin des élections présidentielles, Obama a assuré à la radio qu'il était tout à fait capable de réaliser les pas du chanteur. "Mais je ne pense pas que les bals d'inauguration (qui saluent le début d'un mandat présidentiel) seraient l'endroit pour me lancer. Je le ferai en privé pour (ma femme) Michelle", a-t-il ajouté.
Le clip, qui parodie la vie des riches oisifs du quartier chic de Séoul, Gangnam, a été imité et détourné par les élèves du très select pensionnat britannique d'Eton, les étudiants du prestigieux Massachusetts Institute of Technology (MIT) et quantité de groupes d'anonymes.