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"Je veux féliciter quelqu'un qui nous a empêchés de gagner sur le terrain. Je ne commente pas l'arbitrage mais je suis obligé de le dire", s'est indigné Duarte après avoir félicité avec fair-play son adversaire, coach Hector Cuper.
"Tout le monde l'a vu en 1ère mi-temps: un contre un, mon attaquant va dans la surface et le défenseur touche la balle avec la main. L'arbitre siffle la faute après 30 secondes et l'assistance de l'auxiliaire. Il ne donne pas de carton, ce n'est pas normal", s'est-il insurgé. "L'Egypte a bien gagné avec un gardien qui a une énorme expérience, si quelqu'un devait gagner c'est le Burkina Faso".
"On n'a pas marqué plus (que notre adversaire), on ne peut pas culpabiliser l'Egypte, c'est nous. Mais de toute façon, quelqu'un ne nous a pas laissés gagner le match", a-t-il ajouté, alors qu'il avait souligné la veille "l'arbitrage fantastique" réalisé par les hommes en noir depuis le début de la compétition... "jusqu'à maintenant".
Le technicien portugais a ensuite expliqué pourquoi il a décidé d'inscrire son gardien Kouakou Koffi, héros malheureux de la séance de tirs au but, en position de 4e tireur et non en 5e.
"On a travaillé pendant un mois. On sait qui frappe bien, moins bien et qui est en confiance. On a choisi les cinq meilleurs sans penser que Koffi va rater. Les meilleurs joueurs du monde ratent les penalties. L'Egypte a gagné aux penalties. Il faut accepter ça. Dans la comptabilité générale, les cinq premiers tireurs ont été les meilleurs lors de nos entraînements", a-t-il expliqué.
Le Burkina Faso, finaliste en 2013, ne réédite ainsi pas la meilleure performance de son histoire dans la compétition.