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La participation du ministre à cette réunion, à laquelle prennent part des ministres et des représentants issus des pays membres de l'AILC, constitue une occasion précieuse pour prospecter les moyens de mettre en oeuvre le mémorandum d'entente, signé le 30 novembre 2012 entre le Maroc et l'Académie, dans l'optique d'optimiser l'efficacité des institutions opérant dans la lutte contre la corruption et échanger les bonnes pratiques en matière de recherche et de formation dans ce domaine, indique un communiqué du département de la Fonction publique et de la Modernisation de l'administration.
Dans une allocution à cette occasion, il a passé en revue les réformes institutionnelles, législatives et financières entreprises par le Maroc afin de lutter contre la corruption et moraliser la vie publique, mettant en avant le rôle qui échoit à la formation, à l'éducation et à la recherche académique dans cette perspective.
Le ministre a, d'autre part, rappelé la participation du Royaume aux travaux de la 5ème session de la Conférence des Etats parties à la Convention des Nations unies contre la corruption, au cours de laquelle le Maroc a notamment évalué les étapes franchies dans l'application des engagements conclus lors de la 4ème session (octobre 2011 à Marrakech) et présenté une résolution sur le suivi de la «Déclaration de Marrakech».
La deuxième réunion de l'AILC, qui se poursuivra jusqu'au 11 décembre courant, a pour objectif de prendre des décisions relatives à la mise en place d'une stratégie et de plans d'action de l'Académie.
L'AILC a été créée le 8 mars 2011, à l'initiative de l'Office des Nations unies contre la drogue et le crime (UNODC), dans le but de dispenser une formation professionnelle aux acteurs s'activant dans le domaine de lutte contre la corruption et d'étudier les carences dans ce domaine, à travers l'organisation de séminaires et de conférences scientifiques et la mise en place de programmes et de modules d'enseignement appropriés.