Le rideau a été levé, jeudi soir, sur la deuxième édition du Festival du film pour la jeunesse d'Hurghada, avec la participation de plusieurs pays arabes et étrangers, dont le Maroc.
Le Royaume est représenté dans ce festival, qui se poursuit jusqu'au 24 septembre, par le film "L'esclave" du réalisateur Abdelilah El Jaouhari dans la catégorie des longs métrages, ainsi que par le film "Ayyur" (Lune) de la réalisatrice Zineb Wakrim dans la catégorie des courts métrages.
Cette édition connaît la participation de plusieurs œuvres cinématographiques de différents pays, notamment l'Égypte, la Syrie, l'Irak, Oman, la Tunisie, l'Arabie Saoudite, l'Italie, les États-Unis, la Russie, le Kenya, l'Inde, la Malaisie, les Pays-Bas, le Royaume-Uni, l'Argentine, la Croatie et l'Allemagne.
Selon les organisateurs, cette grande diversité cinématographique reflète l'engagement du Festival à soutenir les jeunes talents du 7ème art à travers le monde et à offrir une plateforme pour présenter leurs œuvres artistiques à un large public.
La cérémonie d'ouverture de cette 2ème édition a été marquée par un hommage rendu à des artistes inspirants du monde du cinéma, notamment l'actrice libanaise Diamand Abou Abboud, la réalisatrice Sandra Nachaat et le producteur égyptien Hisham Abdel Khalek.
Le Festival du film pour la jeunesse d'Hurghada, organisé par la "Fondation arts pour la culture et les médias", comprend des compétitions pour les films de jeunes, notamment les premières œuvres des réalisateurs et scénaristes, ou encore des films abordant des problématiques spécifiques liées à la jeunesse, ainsi qu'une compétition pour les films des étudiants.
Le Royaume est représenté dans ce festival, qui se poursuit jusqu'au 24 septembre, par le film "L'esclave" du réalisateur Abdelilah El Jaouhari dans la catégorie des longs métrages, ainsi que par le film "Ayyur" (Lune) de la réalisatrice Zineb Wakrim dans la catégorie des courts métrages.
Cette édition connaît la participation de plusieurs œuvres cinématographiques de différents pays, notamment l'Égypte, la Syrie, l'Irak, Oman, la Tunisie, l'Arabie Saoudite, l'Italie, les États-Unis, la Russie, le Kenya, l'Inde, la Malaisie, les Pays-Bas, le Royaume-Uni, l'Argentine, la Croatie et l'Allemagne.
Selon les organisateurs, cette grande diversité cinématographique reflète l'engagement du Festival à soutenir les jeunes talents du 7ème art à travers le monde et à offrir une plateforme pour présenter leurs œuvres artistiques à un large public.
La cérémonie d'ouverture de cette 2ème édition a été marquée par un hommage rendu à des artistes inspirants du monde du cinéma, notamment l'actrice libanaise Diamand Abou Abboud, la réalisatrice Sandra Nachaat et le producteur égyptien Hisham Abdel Khalek.
Le Festival du film pour la jeunesse d'Hurghada, organisé par la "Fondation arts pour la culture et les médias", comprend des compétitions pour les films de jeunes, notamment les premières œuvres des réalisateurs et scénaristes, ou encore des films abordant des problématiques spécifiques liées à la jeunesse, ainsi qu'une compétition pour les films des étudiants.
Bouillon de culture
Festival Izouran
La deuxième édition du Festival Izouran, une manifestation culturelle et artistique visant la préservation du patrimoine oral amazigh, aura lieu du 18 au 21 octobre prochain au Ksar d'Ait Ben Haddou (province d’Ouarzazate).
Organisé par l’Association We Speak Citizen, le festival invite, à travers une programmation riche et variée, à redécouvrir la culture amazighe et les différents aspects du patrimoine immatériel dans le cadre enchanteur des oasis et kasbahs du site historique d'Ait Ben Haddou.
Le festival connaîtra la participation d'un parterre d'académiciens, d'écrivains et de conteurs du Maroc, du Cameroun, de la Côte d’Ivoire, de la République du Congo et du Sénégal, indiquent les organisateurs.
Le festival Izouran, ajoute la même source, rend hommage à la poétesse amazighe Mririda Nait Attik, dont les œuvres incarnent les valeurs de liberté, d’attachement à la terre et de nostalgie des racines, soulignant ainsi l’importance de la poésie dans la tradition orale amazighe.
Au menu du festival figurent plusieurs activités dont des conférences axées sur le rôle des formes d’expression artistique contemporaines dans la préservation du patrimoine immatériel africain, des soirées musicales célébrant la musique amazighe, des spectacles de contes et des ateliers artisanaux dans les domaines de la bijouterie, de la broderie, du tatouage et du maquillage traditionnel.
Le programme comprend également des visites guidées au Ksar d'Ait Ben Haddou et à la vallée d’Ounila, en sus d'une rencontre littéraire autour des nouvelles publications du centre culturel et de recherche "la Maison de l’Oralité-Tigmi n Wawal".
La deuxième édition du Festival Izouran, une manifestation culturelle et artistique visant la préservation du patrimoine oral amazigh, aura lieu du 18 au 21 octobre prochain au Ksar d'Ait Ben Haddou (province d’Ouarzazate).
Organisé par l’Association We Speak Citizen, le festival invite, à travers une programmation riche et variée, à redécouvrir la culture amazighe et les différents aspects du patrimoine immatériel dans le cadre enchanteur des oasis et kasbahs du site historique d'Ait Ben Haddou.
Le festival connaîtra la participation d'un parterre d'académiciens, d'écrivains et de conteurs du Maroc, du Cameroun, de la Côte d’Ivoire, de la République du Congo et du Sénégal, indiquent les organisateurs.
Le festival Izouran, ajoute la même source, rend hommage à la poétesse amazighe Mririda Nait Attik, dont les œuvres incarnent les valeurs de liberté, d’attachement à la terre et de nostalgie des racines, soulignant ainsi l’importance de la poésie dans la tradition orale amazighe.
Au menu du festival figurent plusieurs activités dont des conférences axées sur le rôle des formes d’expression artistique contemporaines dans la préservation du patrimoine immatériel africain, des soirées musicales célébrant la musique amazighe, des spectacles de contes et des ateliers artisanaux dans les domaines de la bijouterie, de la broderie, du tatouage et du maquillage traditionnel.
Le programme comprend également des visites guidées au Ksar d'Ait Ben Haddou et à la vallée d’Ounila, en sus d'une rencontre littéraire autour des nouvelles publications du centre culturel et de recherche "la Maison de l’Oralité-Tigmi n Wawal".