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Considérée comme l'une des plus difficiles au monde, cette course est une épreuve sportive, individuelle ou par équipe, en autosuffisance alimentaire, ont indiqué les organisateurs, notant que chaque concurrent doit porter son équipement (nourriture et matériel obligatoire) pendant toute la durée de la course.
Tout au long de ce parcours, les difficultés s'enchaîneront pour offrir toutes les variantes du Sahara, ont-ils expliqué, précisant qu'il faudra traverser des ergs (champs de dunes), des djebels (montagnes), des plateaux caillouteux, des lacs asséchés ou des oueds où ne coule que le sable, mais aussi des oasis, des campements nomades ou des villages traditionnels en pisé.
L'édition 2016 de ce marathon connaîtra la participation de plus de 1.200 compétiteurs dont 30% des participants sont Français, les 70% restant représentent environ 50 nationalités avec une forte présence anglo-saxonne et de plus de 200 femmes.
Il s'agit d'une course de 257 km, en allure libre et en 5 étapes de 30 à 80 km empruntant les plus beaux espaces du désert marocain, en plus d'une étape dédiée à la solidarité avec les droits de l'enfant.
Cette dernière étape, aux couleurs de l'UNICEF, est une réflexion sur le vécu de cette belle aventure humaine et une prise de conscience solidaire avant de rejoindre la civilisation, ont affirmé les organisateurs.
Lancé en 1986 par Patrick Bauer, le Marathon des sables a réuni, en plus de 30 ans, plus de 19.000 concurrents dans le Sahara Sud Marocain.