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Ces amodiations, qui se répartissent entre des lots de chasse associative (319.891 ha), touristique (87.124 ha) et provinciale (20.190 ha), ont un impact positif aussi bien sur le développement des richesses cynégétiques, que sur la promotion des produits de niche et de l’économie locale, à travers la participation à la création de d’emplois, le développement du tourisme de nature et la valorisation des produits de terroir, a précisé la Direction régionale dans un communiqué.
Et pour assurer le bon déroulement de la saison de chasse 2016-2017, qui a débuté ce dimanche, la Direction régionale a pris une batterie de mesures, visant notamment à diffuser la note relative à l’organisation et au déroulement de la saison auprès des unités de gestion de la Direction régionale et des différents partenaires.
Ces mesures consistent aussi à mobiliser le personnel forestier, afin de satisfaire les demandes de délivrance des permis d'exploiter formulées par les amodiataires de droit de chasse et de licences de chasse sollicités par les chasseurs, et sensibiliser les amodiataires sur l’activité de la chasse, les mesures de sécurité liées à l’utilisation des armes et les obligations dictées par les contrats d’amodiation du droit de chasse.
La direction régionale s’engage également à élaborer et afficher la carte cynégétique au niveau de toutes les unités de gestion forestière, en signalant les réserves et les lots amodiés pour informer les chasseurs sur les territoires amodiés et ceux mis en réserve, et à renforcer les opérations de lutte contre le braconnage, à travers l’instauration d’un dispositif de contrôle et de surveillance continus, surtout au niveau des points noirs de délits et des principaux passages des chasseurs.
Concernant le nombre maximal de pièces de gibier qu'un chasseur peut abattre au cours d'une même journée de chasse, il est fixé à quatre perdreaux, un lièvre, cinq lapins, cinq bécasses, cinquante grives, dix canards, deux oies, vingt bécassines, dix pigeons bisets et palombes, vingt cailles, cinquante tourterelles, cinquante calandres et calandrelles et vingt unités parmi les autres espèces de gibier d'eau autorisées.
La direction régionale a, par ailleurs, souligné que le nombre de sangliers qu'un chasseur peut abattre au cours d'une battue est fixé à une unité pour la saison de chasse 2016-2017.