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Ainsi, les différents conseils élus de Laâyoune, Smara, Dakhla, Assa-Zag ou Guelmim ont tenu des réunions dans ce cadre. La société civile n’a pas été en reste. Elle a organisé des meetings pour célébrer cet évènement. L’Association Nord-Sud Action, créée en 2011 à Dakhla, a ainsi offert un déjeuner en l’honneur de la diaspora africaine résidant à Dakhla. Celle-ci compte plusieurs centaines d’Africains venus de différents pays du continent. Dans ce contexte, Libé a rencontré Omar Alaoui Belghiti, premier vice-président du Conseil régional du tourisme et président de cette association qui a bien voulu répondre à nos questions.
Libé : Qu’est-ce qui a motivé l’organisation de cette action humanitaire ?
Omar Alaoui Belghiti : A l’Association Nord-Sud Action, nous avons l’habitude d’organiser des actions sociales à l’occasion de chaque fête nationale ou religieuse et pendant le mois sacré de Ramadan. Le retour du Maroc au sein de sa famille institutionnelle africaine nous a donc offert l’occasion de réunir nos frères africains résidant à Dakhla.
Vous êtes un pilier du secteur touristique dans la région. Parlez-nous de l’évolution de ce secteur.
C’est un secteur important, économiquement parlant, après celui de la pêche. Le grand potentiel de cette région située entre mer et désert et le climat entre autres en font un secteur-clé du développement. Dans ce sens, nous venons de constituer un nouveau bureau qui a élaboré un plan d’action qui sera effectif dès la semaine prochaine.
Comment voyez-vous l’avenir de nos provinces sahariennes ?
Le retour du Maroc au sein de l’Union africaine est un facteur qui facilitera la résolution de ce conflit artificiel et permettra le retour à la mère patrie de nos frères séquestrés à Tindouf.