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Le texte invite également les Etats de la région à continuer à faire preuve de bonne volonté et travailler dans une atmosphère propice au dialogue afin d’entrer, de bonne foi et sans conditions préalables, dans une phase de négociations plus intensives.
Par sa nouvelle résolution, l’Assemblée générale de l’ONU a ainsi conforté la démarche du Conseil de sécurité pour la recherche d’une solution de compromis visant à mettre fin à l’impasse actuelle et à progresser vers une solution politique définitive et mutuellement acceptable au différend régional sur nos provinces sahariennes. Une démarche dans laquelle le Royaume s’est engagé en mettant sur le tapis une initiative d’autonomie substantielle, novatrice et conforme au droit international.
Depuis son lancement, sa proposition n’a cessé de recueillir le soutien de nombreux pays, tout en engendrant une dynamique vertueuse au sein du Conseil de sécurité, qui avait d’ailleurs qualifié les efforts qui l’ont sous-tendue de «sérieux et crédibles ».
La nouvelle résolution de l’Assemblée générale de l’ONU a donc consacré la prééminence de cette initiative dont le réalisme et l’esprit de compromis sont les vertus cardinales.
Elle a également porté un coup on ne peut plus sérieux à la politique d’immobilisme et aux tactiques d’obstruction initiées comme seule règle de conduite par l’Algérie et le Polisario dont la position dogmatique continue à être fondée sur une lecture biaisée et orientée du principe de l’autodétermination et sous-tendue par une philosophie contraire à l’orientation souhaitée par la communauté internationale pour la résolution de ce différend régional.