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Huit personnes ont été tuées par un kamikaze qui s'est fait exploser lundi matin dans une mosquée du nord-est du Nigeria, a-t-on appris de sources locales.
L'explosion s'est produite dans le quartier de Mainari à Konduga, dans l'Etat de Borno, a indiqué Ibrahim Liman, membre de la milice civile qui assiste les forces de l'ordre dans leur lutte contre les militants jihadistes de Boko Haram, très actifs dans cette région.
"L'homme est entré dans la mosquée à 5h15 (04H15 GMT) pendant la prière et s'est fait exploser, il a tué huit personnes et il y a cinq blessés", a-t-il affirmé à l'AFP.
"Sept des victimes sont mortes sur le coup, une est décédée pendant son transfert à l'hôpital de Maiduguri", la capitale du Borno et berceau historique de Boko Haram, a-t-il précisé. Umar Goni, un habitant de Konduga, a expliqué à l'AFP qu'il était en route pour la mosquée au moment de l'explosion et avait participé aux secours.
Migrants
Plus de 450 personnes ont été évacuées lundi matin d'un campement de migrants installé depuis plus d'un mois en plein centre-ville de Nantes, dans l'ouest de la France.
L'opération, qui a débuté tôt dans la matinée, a évacué 455 migrants, selon les autorités publiques, essentiellement soudanais et érythréens.
Face à la situation sanitaire "préoccupante" de ce campement concentré dans un petit jardin public, avec un seul point d'eau et un seul sanitaire, et où la présence de rats et des cas de gale ont été signalés, des associations et la ville de Nantes en avaient appelé à l'Etat.
La mairie ayant refusé de demander l'évacuation sans accueil "digne et organisé" des migrants, la préfecture (réprésentant localement l'Etat) avait saisi en urgence la justice, qui avait ordonné l'évacuation.
Les occupants du square ont été invités à se rendre dans une salle de la ville abritant un guichet unique d'accueil temporaire pour y faire examiner leur situation par les services de l'Etat.