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La police britannique pense avoir identifié les suspects de l'empoisonnement au Novitchok de l'ex-agent double Sergueï Skripal et sa fille Ioulia comme étant des Russes, une avancée majeure dans cette enquête, rapportait jeudi l'agence Press Association (PA).
"Les enquêteurs pensent qu'ils ont identifié les suspects de l'attaque au Novitchok via des (caméras de surveillance)", dont ils ont comparé les images avec "les dossiers des personnes qui sont entrées dans le pays à cette époque", a déclaré une source proche du dossier citée par l'agence britannique. "Ils (les enquêteurs) sont sûrs qu'ils (les suspects) sont Russes", a-t-elle ajouté.
Interrogé par l'AFP, Scotland Yard s'est refusé à tout commentaire.
L'empoisonnement de l'ex-agent double russe et de sa fille, début mars à Salisbury (sud-ouest de l'Angleterre) au moyen du Novitchok, un puissant agent innervant issu d'un programme chimique soviétique, a été attribué par Londres à Moscou, qui nie toute implication.
Birmanie
L'armée birmane s'est livrée à une "préparation systématique" du "génocide" rohigya, qui a poussé plus de 700.000 d'entre eux à l'exil en 2017, a accusé jeudi l'ONG internationale Fortify Rights, livrant une liste de 22 responsables dont le puissant chef de l'armée.
"Les autorités birmanes ont fait des préparatifs systématiques pendant des semaines, voire des mois, avant les attaques du 25 août 2017, pour perpétrer des crimes de masse contre des civils rohingyas", écrit l'ONG dans un rapport de 160 pages publié jeudi, suite à un travail de terrain impliquant des interviews avec des sources militaires et policières birmanes.
Fin août 2017, des rebelles de la communauté musulmane des Rohingyas avaient pris les armes, dénonçant les mauvais traitements subis par cette minorité apatride en Birmanie. Leurs attaques meurtrières avaient ouvert la voie à une vaste opération de représailles par l'armée birmane.