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Une coulée de boue provoquée par le débordement d'un lac de montagne a fait au moins 10 morts et emporté des "centaines de maisons" dans la vallée du Panjshir, dans le nord de l'Afghanistan, a annoncé jeudi le ministère de la Gestion des catastrophes naturelles.
"Nous pouvons confirmer dix morts et des centaines de maisons détruites, des gens sont portés disparus", a déclaré le porte-parole du ministère Omar Mohammadi, ajoutant qu'une réunion d'urgence était en cours pour apporter du secours aux habitants.
Il s'agit, a-t-il expliqué, d'une retenue naturelle au sommet du village de Peshghor, dans le district de Khenj, dont le niveau est subitement monté avec la fonte des neiges sous l'effet de températures estivales élevées. "L'eau a débordé et provoqué une coulée de boue qui a envahi le village".
Le district excentré et haut perché de Khenj, célèbre pour ses émeraudes, abrite plus de 150 villages éparpillés dans la vallée de la rivière Panjshir, qui s'ouvre à deux heures environ au nord de Kaboul.
Japon
Les inondations et glissements de terrain dans l'ouest du Japon ont tué plus de 200 personnes et, tandis que les recherches continuent, surgit la question de l'évaluation du danger face à des phénomènes inédits.
Outre les 201 décès constatés jeudi en milieu de journée, "nous restons encore sans nouvelles de nombreuses personnes et nous poursuivons les recherches", a indiqué le porte-parole du gouvernement, Yoshihide Suga, lors d'un point de presse, tandis que les médias parlent d'une soixantaine de disparus.
Il s'agit déjà de la plus grave catastrophe météorologique depuis 1982 au Japon et le bilan s'aggrave de jour en jour alors que les chances de découvrir des personnes en vie s'amoindrissent.
"Le délai critique de 72 heures est passé, mais nous allons continuer en pensant qu'il y a peut-être des survivants", a indiqué à l'AFP Mutsunari Imawaka, un fonctionnaire de la province d'Okayama, la plus meurtrie avec celle de Hiroshima.