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Un puissant tremblement de terre a touché l'ouest du Japon lundi, tuant trois personnes dont une petite fille de neuf ans et provoquant coupures de courant et suspension du trafic ferroviaire à une heure de forte affluence.
L'Autorité de régulation nucléaire a indiqué n'avoir rien détecté d'anormal dans les centrales de la région, tandis que plusieurs groupes dont les constructeurs d'automobiles Honda et Daihatsu ont suspendu leur production pour procéder à des vérifications.
Le bilan officiel donné par l'Agence chargée des situations d'urgence est de trois morts et 214 blessés dans les régions d'Osaka, Hyogo et Kyoto.
La fillette a été tuée sur le chemin de l'école. "La partie supérieure d'un mur de 3,5 mètres de haut bordant la piscine de l'établissement s'est effondrée et l'écolière a été prise au piège", a expliqué Takeshi Hamada, le maire de la localité de Takatsuki, au nord d'Osaka, où a eu lieu le drame.
Un homme de 80 ans a également été tué par la chute d'un mur et un autre octogénaire est mort, écrasé par un meuble chez lui, a précisé l'agence de presse Kyodo.
France
Une majorité de Français estime que le gouvernement a fait le bon choix en n'offrant pas l'accueil au navire humanitaire Aquarius, arrivé en Espagne après une semaine d'errance en Méditerranée, selon un sondage publié lundi.
Les 630 migrants secourus par le navire affrété par l'ONG SOS Méditerranée ont accosté dimanche dans le port de Valence, dans l'est de l'Espagne.
Le refus de l'Italie et de Malte d'accueillir l'Aquarius avait plongé l'Europe dans une nouvelle crise sur la question migratoire et déclenché une passe d'armes diplomatique entre la France et l'Italie.
En France, le choix de ne pas accueillir le navire, passé près de ses côtes, avait été critiqué par certains, regrettant le manque d'empathie et de solidarité des autorités françaises, alors qu'un peu partout en Europe, populations et gouvernements tendent à adopter des positions de plus en plus dures face aux arrivées massives de migrants.