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Au moins une personne a été tuée, lundi, dans l'explosion d'un engin piégé au passage d'un véhicule militaire, près d'une base abritant des soldats américains et français, dans la province syrienne de Raqa (nord), a rapporté l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
"Une bombe placée en bordure de la route menant de la localité de Ain Issa vers la base militaire Brigade 93, où sont stationnés des soldats américains et français ainsi que des combattants kurdes, a explosé au passage d'un convoi militaire", a indiqué le directeur de l'OSDH, Rami Abdel Rahmane.
"Cette base, d'abord aux mains du régime, a été conquise par le groupe Etat islamique (EI) avant d'être reprise l'été dernier par les forces arabo-kurdes", a-t-il ajouté.
Les forces démocratiques syriennes (FDS), une alliance de combattants arabo-kurdes soutenue par la coalition internationale anti-EI, ont été le fer de lance de la lutte contre les extrémistes depuis la proclamation par l'EI de son "califat" à l'été 2014.
France
Les deux derniers grands campements de migrants à Paris ont été évacués, lundi matin, par les forces de l'ordre de leurs occupants dont le nombre est évalué à près d'un millier de personnes, rapportent des médias français.
Cette opération, qui intervient cinq jours après l'évacuation du plus gros campement de Paris, celui dit du Millénaire, près de la porte de la Villette, a débuté au petit matin sur le campement du canal Saint-Martin (nord de Paris) où quelque 550 personnes avaient été recensées.
Majoritairement originaires d'Afghanistan, ces migrants étaient installés sous des tentes depuis plusieurs mois.
La deuxième évacuation a concerné, quant à elle, un campement près de la porte de la Chapelle, également dans le nord de Paris, où quelque 450 personnes étaient installées.
Les migrants évacués devaient être acheminés par bus vers des structures d'accueil où ils feront l'objet d'un «examen complet et approfondi de leur situation administrative par les services de l'Etat», selon un communiqué de la préfecture de Paris.