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Plus d'un millier de migrants ont été évacués mercredi lors d'une opération de police sur le plus gros campement de réfugiés à Paris, au centre d'un bras de fer entre le gouvernement du président Emmanuel Macron, accusé de vouloir restreindre l'accueil des étrangers, et la mairie socialiste, qui demande à l'Etat d'en faire plus.
L'évacuation s'est déroulée dans le calme, a constaté une journaliste de l'AFP. Dans la matinée, des camions bennes de la Ville de Paris s'activaient sur les quais pour enlever tentes, sacs de couchages et détritus tandis que les derniers migrants étaient acheminés vers les 24 structures d'accueil, essentiellement des gymnases.
Selon le préfet de la région parisienne, Michel Cadot, 1.016 personnes ont été évacuées, dont 11 mineurs, un décompte inférieur aux précédentes estimations qui faisaient état de 1.600 à 2.000 migrants présents sur ce campement.
Gaza
Un Palestinien blessé par balles par les forces israéliennes lors de récentes manifestations à la frontière de la bande de Gaza a succombé à ses blessures mercredi, a annoncé le ministère palestinien de la Santé à Ramallah.
Naji Ghonaim, 23 ans, avait été blessé dans des affrontements il y a quelques jours le long de la frontière près de Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, précise le ministère dans un communiqué.
L'homme a ensuite été transféré à Al-Qods occupée pour y être soigné mais il est décédé mercredi matin, selon le communiqué qui n'a pas donné de date précise pour l'incident.
Au moins 122 Palestiniens ont été tués depuis que des manifestations de masse et des affrontements ont éclaté le long de la frontière de Gaza le 30 mars.
Aucun Israélien n'a été tué.
Les manifestations ont culminé le 14 mai quand au moins 61 Palestiniens ont été tués alors que des milliers d'entre eux s'approchaient de la barrière frontalière massivement gardée par l'armée israélienne. Ils protestaient contre le transfert ce jour-là de l'ambassade des Etats-Unis de Tel Aviv à Al-Qods.