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Amnesty International a accusé jeudi l'armée nigériane d'exactions sexuelles envers les civils dans sa lutte contre les islamistes du groupe Boko Haram, violant en échange de nourriture des femmes et des filles réfugiées dans des camps de déplacés du Nord-Est du pays.
L'armée a aussitôt démenti ces accusations, qualifiant ce nouveau rapport de l'organisation de défense des droits de l'Homme de "mensonger".
Dans le document, Amnesty International accuse l'armée nigériane et les milices engagées à ses côtés contre Boko Haram d'avoir "séparé les femmes de leurs époux" et de les avoir "enfermées dans des +camps annexes+ isolés, où elles sont violées". L'ONG fait remonter ces pratiques à 2015, époque à laquelle les autorités ont repris le contrôle des territoires occupés par les insurgés.
Le rapport, qui s'appuie sur plus de 250 entretiens, porte sur les camps établis dans sept villes de l'Etat du Borno - le plus touché par l'insurrection -, dont Bama, Banki, Rann et Dikwa.
Ukraine
Le missile qui a abattu le vol MH17 au-dessus de l'Ukraine en 2014 provenait d'une unité militaire russe, ont indiqué jeudi les enquêteurs internationaux.
Les enquêteurs "ont conclu que le missile Bouk-Telar qui a abattu MH17 provenait de la 53e brigade anti-aérienne basée à Koursk, en Russie", a annoncé l'enquêteur néerlandais Wilbert Paulissen.
"La 53e brigade fait partie des forces armées russes", a-t-il ajouté au cours d'une conférence de presse aux Pays-Bas.
L'avion de la compagnie Malaysia Airlines avait été abattu au-dessus de l'Est séparatiste prorusse de l'Ukraine le 17 juillet 2014 et l'ensemble des 298 personnes présentes à son bord, en majorité des Néerlandais, ont péri.
A ce jour, l'équipe internationale a minutieusement recréé la route empruntée par le convoi militaire depuis Koursk à travers la frontière ukrainienne en utilisant des photos et des vidéos.
Moscou a à plusieurs reprises nié son implication dans le drame en en accusant l'Ukraine.