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La police turque a arrêté vendredi 150 soldats soupçonnés d'être liés aux réseaux du prédicateur Fethullah Gülen auquel Ankara impute le putsch avorté de juillet 2016, a annoncé l'agence étatique Anadolu.
Le parquet d'Istanbul a émis au total des mandats d'arrêt contre 300 militaires, dont 211 soldats d'active, dans le cadre d'une enquête sur les structures gulénistes au sein de l'armée, selon Anadolu.
Cent cinquante des soldats concernés par ces mandats d'arrêt ont été arrêtés vendredi par la police d'Istanbul, a précisé l'agence.
Depuis le putsch avorté, plus de 50.000 personnes ont été arrêtées et plus de 140.000 limogées ou suspendues à travers le pays.
Parmi les personnes arrêtées figurent près de 7.500 militaires, selon des chiffres du ministère de la Justice. Plus de 7.500 soldats ont en outre été limogés.
Kenya
Les équipes de secours continuaient vendredi de chercher d'éventuels survivants à la catastrophe causée par la rupture d'un barrage mercredi soir au Kenya, qui a fait 44 morts, selon le gouverneur du comté de Nakuru (centre).
Lee Kinyanjui a déclaré à la presse vendredi matin que 44 corps avaient été récupérés, 40 personnes étaient portées disparues, et annoncé qu'un barrage voisin "devra être vidé pour éviter un (nouveau) désastre".
Des dizaines de personnes rescapées ont été admises dans des centres de soins.
Mercredi vers 21H00, le barrage situé sur la commune de Solai près de Nakuru (environ 160 km au nord de Nairobi) avait cédé et ses eaux boueuses ont balayé les modestes habitations avoisinantes.
Interrompues jeudi en fin de journée en raison de fortes pluies, les recherches ont repris vendredi matin, mêlant secours professionnels et volontaires.
Le procureur en chef du Kenya Noordin Hajo a par ailleurs annoncé l'ouverture d'une enquête policière afin de "déterminer les causes et les responsabilités" dans cette tragédie.