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Plusieurs attaques visant deux commissariats de police et apparemment coordonnées, ont secoué Kaboul mercredi, une semaine après un double attentat suicide qui avait fait au moins 25 morts dans la capitale.
Des journalistes de l'AFP ont entendu plusieurs déflagrations dans le centre-ville. Elles ont été confirmées sans plus de précision dans l'immédiat par des responsables sécuritaires et des témoins.
Lors d'une première attaque, un kamikaze s'est fait exploser devant un commissariat de police de l'ouest de la ville, avant un échange de tirs nourris entre d'autres assaillants et des policiers, a déclaré à l'AFP le porte-parole du ministère de l'Intérieur Najib Danish.
Des images de la chaîne Ariana TV montraient un épais panache de fumée noire monter vers le ciel. Une photo postée par un usager de Twitter montre un bâtiment en flammes, présenté comme l'un des commissariats touchés.
"La seconde attaque s'est produite devant le commissariat de police numéro 10, de Shar-e-Naw, au centre de Kaboul", a poursuivi le porte-parole. "Deux assaillants qui ont tenté de pénétrer dans l'enceinte ont été abattus".
Italie
Dix-sept migrants rescapés d'une opération de secours chaotique en Méditerranée ont porté plainte auprès de la Cour européenne des droits de l'Homme contre le gouvernement italien, accusé de se défausser sur des gardes-côtes libyens "négligents et violents", ont annoncé mardi des associations.
Les plaignants accusent l'Italie d'avoir enfreint leurs droits en "sous-traitant" les secours en mer à la Libye, dans le cadre d'accords controversés mis en place en 2017 avec les autorités libyennes pour bloquer les flux de migrants en Méditerranée.
Ils souhaitent que la CEDH ordonne à l'Italie de verser des dommages aux plaignants et surtout de mettre fin à sa politique de renvoyer les migrants vers la Libye, qu'elle avait déjà condamnée en 2012.
Les accords avec les autorités et les milices libyennes, qui s'accompagnent d'un appui concret aux gardes-côtes libyens, ont fait chuter de 80% les arrivées en Italie cette année par rapport à 2017.