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Le principal opposant au Kremlin Alexeï Navalny qui avait été arrêté samedi lors d'une manifestation avant l'investiture de Vladimir Poutine, a été relâché dimanche et va être jugé la semaine prochaine, a indiqué son avocate.
M. Navalny et quelque 1.600 opposants ont été interpellés samedi suite à des rassemblements anti-Poutine non autorisés à travers le pays sous le slogan "Pas notre Tsar" à deux jours de l'investiture de l'homme fort du Kremlin pour un quatrième mandat présidentiel.
M. Navalny n'avait pas pu se présenter à l'élection présidentielle du 18 mars, remportée par M. Poutine avec plus de 76% des voix, en raison d'une condamnation pénale qu'il estime orchestrée par le Kremlin.
Interpellé samedi peu après son apparition place Pouchkine, en plein centre de Moscou, M. Navalny a annoncé sur son compte Twitter avoir été relâché peu après minuit dimanche.
Raid
L'armée de l'air irakienne a effectué un nouveau raid contre une position du groupe djihadiste Etat islamique en territoire syrien, ont annoncé dimanche les services du Premier ministre irakien, Haïdar al Abadi.
Cette frappe aérienne a visé une position utilisée par les commandants de l'EI au sud de la ville de Dechaïcha, lit-on dans le communiqué du cabinet du Premier ministre.
L'armée de l'air irakienne a déjà mené plusieurs frappes contre le groupe EI en Syrie depuis l'an dernier, avec le feu vert du régime du président Bachar al Assad et de la coalition internationale en lutte contre les djihadistes.
Haïdar al Abadi a déclaré en avril qu'il "prendrait toutes les mesures nécessaires s'ils menacent la sécurité de l'Irak", allusion aux djihadistes qui s'étaient emparés d'un tiers du territoire irakien à la faveur d'une offensive-éclair à la mi-2014.